« Pastorale » signifie compatir et être proche

La pastorale ne doit pas rester seulement un mot abstrait. La pastorale doit être vécue, expérimentée. Elle touche le cœur et compatit – particulièrement dans les mauvais moments de la vie. Par exemple à Taïwan, après les tremblements de terre, ou lorsque les communautés sont très éloignées et qu'il manque la pratique régulière des services divins.

Tremblement de terre à Taïwan

Le terrible tremblement de terre à Taïwan a coûté la vie à au moins 40 personnes – un bilan provisoire, car un certain nombre de personnes est encore porté disparu. Certains membres de l'Église néo-apostolique ont également perdu tout ce qu'ils possédaient, mais ils en sont quittes pour la peur et sont vivants. Le responsable de district local s'estime heureux : « Nous sommes reconnaissants pour la protection des anges. Dans le même temps, nous prions Dieu d'user de grâce à l'égard de tous ceux qui sont morts, et pour les proches qui sont maintenant en deuil. »

Début février, un puissant tremblement de terre a secoué le sud de l'îile. Plusieurs immeubles se sont effondrés en raison du tremblement de terre, d'une amplitude de 6,4. Dans la métropole de Tainan, un complexe d'habitation de 16 étages s'est effondré. C'est là qu'on recense le plus de victimes mortelles.

En déplacement au Brésil

Santa Catarina, Paraná et São Paulo – Lors d'un voyage prolongé en voiture dans l'est du pays, l'apôtre de district Montes de Oca a tenu plusieurs services divins et séminaires de formation. Les visites pastorales étaient également au programme. Le responsable de l' « Igreja Nova Apostólica°» brésilienne était accompagné du prêtre Walter Irigoita, d'Uruguay, et de l'évêque Eduardo Haeffner, de São Paulo. Le voyage a débuté par un service divin à Schroeder (Santa Catarina), et s'est terminé dix jours plus tard à São Pedro (São Paulo).

Le territoire brésilien s'étend sur plus de huit millions de kilomètres carrés. Le Brésil est ainsi le cinquième plus grand pays du monde par sa superficie, et forme près de la moitié du continent sud-américain. Environ 200 millions de personnes vivent ici. Les communautés néo-apostoliques sont également présentes, mais elles sont peu nombreuses. Elles sont éparpillées dans la plupart des États brésiliens. Beaucoup de familles néo-apostoliques sont loin des communautés, et sont desservis par ce que l'on appelle les lettres pastorale, ou par les visites pastorales à domicile.

En route au Suriname

En janvier, l'apôtre Peter Klene, des Pays-Bas, s'est rendu au Suriname, un petit État sud-américain dans la pointe nord-est du continent. L'apôtre y a visité les communautés néo-apostoliques locales ; c'était sa première visite pour cette année. Le week-end des 16 et 17 janvier, trois services divins avec saint-scellé ont eu lieu. Au cours du service divin du samedi, dans la communauté de Tapoeripa, trois jeunes sœurs en la foi sont devenues néo-apostoliques.

L'apôtre a célébré le service divin du dimanche matin dans la communauté la plus récente de Taman Sari. Deux enfants et sept adultes sont venus grossir les rangs de cette communauté. Cela, s'est exprimé l'apôtre, constitue, pour ces communautés relativement petites, une belle valeur ajoutée et une belle croissance. Un autre service divin a eu lieu à Balingsoela, dans une communauté archi-comble. Le lundi, outre de nombreuses visites pastorales, l'apôtre Klene a également présidé un séminaire. Tous les responsables de communautés de l'intérieur du pays avaient été invités pour l'occasion.