Spotlight 13 : Une question de relation
La « société de loisirs » laisse-t-elle encore assez de place à la « joie en Christ » ? Que peut-on faire pour y remédier ? L'apôtre de district Wilfried Klingler (Allemagne centrale) a creusé ces questions dans son article sur le thème de la devise de l'année 2015.
Dans notre monde moderne, la joie semble accessible à tout moment. La « société de loisirs » est apparue peu à peu, presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre et presque chaque jour de l'année.
Pour les chrétiens, aussi, le danger menace d'être happé dans ce tourbillon et de ne plus trouver d'espace pour la « joie en Christ ». Cette joie est une vertu chrétienne et, après l'amour, elle est citée comme le deuxième fruit de l'Esprit dans l'épître aux Galates. Elle dépend moins de circonstances extérieures que de la disposition intérieure du croyant et de sa relation à Dieu.
Dans la parole commençant par « Je suis » de Jésus, tirée de ses discours d'adieu, il donne l'image fondamentale du cep de vigne. Sa relation à son Père doit être exemplaire pour ses disciples, et il la décrit comme une relation d'amour. Christ termine ces pensées par cette belle indication : « Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. »
Entretenons notre relation au Seigneur et regardons avec reconnaissance le fait d'être associés personnellement dans le processus de rédemption – alors naîtra la joie !
Peut-être la joie en Christ peut-elle encore être augmentée ?
