Couleur du site web:

apostles.today

Connaître Dieu et réagir en conséquence

décembre 7, 2016

Author: Andreas Rother

Print
Écoutez-le

C’est sur les réseaux sociaux que, de nos jours, les gens s’expriment sur ce qui compte à leurs yeux. La démarche n’est pas nouvelle, c’était déjà celle des psalmistes et des prophètes pour parler de leur piété. Quelques pistes extraites d’un service divin de l’apôtre-patriarche.

Le 30 octobre 2016, les fidèles du district de Rhénanie-Palatinat (Allemagne) ont eu une heureuse surprise : c’est l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider qu’ils ont vu monter à l’autel au lieu de leur apôtre de district qui avait annoncé sa venue. Il a développé la parole en Psaumes 34 : 3 : « Que mon âme se glorifie en l’Éternel ! Que les malheureux écoutent et se réjouissent ! »“

Montrer ce qui est important à nos yeux

« Il est plutôt mal vu, de nos jours, de se glorifier : on risque de passer pour un vantard, un frimeur. Ici, c’est d’une autre manière de se glorifier dont il est question : Il s’agit de donner une image de soi, en montrant ce à quoi on tient particulièrement. C’est d’ailleurs une démarche habituelle au quotidien, notamment sur les réseaux sociaux.

Pour nous, l’essentiel, c’est Dieu. Veillons à ce que cela se voie », a dit le primat de l’Église, en citant une parole des prophètes : « Que celui qui veut se glorifier se glorifie d’avoir de l’intelligence et de me connaître » (Jérémie 9 : 24).

Notre connaissance de Dieu

« Que savons-nous de Dieu ? Comment réagissons-nous à cette connaissance ? » Ces deux questions appellent cinq réponses :

  • Dieu fait grâce : « Il nous a élus par grâce, et non pas pour nos performances et nos qualités. Nous en sommes reconnaissants et humbles, humbles devant Dieu et nos contemporains, car nous savons ne pas être meilleurs qu’eux. »
  • Dieu est miséricordieux : « Il est notre Père, celui qui vient sans cesse à notre rencontre pour nous aider. Nous faisons preuve de patience et de confiance, sachant qu’il ne nous abandonne jamais. »“
  • Dieu est amour : « Il aime les hommes. Il aime notre prochain. Comment rejeter quelqu’un, en sachant que Jésus est mort pour lui ? »
  • Dieu est le Rédempteur : « Même si, parfois, nous ne comprenons plus rien à rien, nous savons parfaitement que Jésus-Christ est à l’œuvre et qu’il veillera toujours à ce qu’aucun malheur n’entrave son salut. »
  • Dieu est le consommateur : « Nous, êtres insensés, faibles, insignifiants, méprisés, il veut nous rendre parfaits, nous façonner à son image. »

Notre réaction

« Faisons savoir ces choses, afin que les malheureux les entendent et s’en réjouissent, a encore dit l’apôtre-patriarche. Qui sont donc ces malheureux ? Ce sont ceux qui ne connaissent pas encore Dieu. »

  • « En vérifiant notre humilité et notre reconnaissance, ils comprendront qu’ils ont aussi une chance de parvenir auprès de Dieu. »“
  • « Nous gardons patience et restons confiants, même si les choses vont mal pour nous. Les hommes en tireront la conclusion que Dieu peut les aider, eux aussi. »“
  • « Sachant que Jésus aime notre prochain, nous l’aimons aussi, afin qu’il fasse l’expérience de l’amour de Jésus. »
  • « Beaucoup d’hommes sont inquiets : ils ne comprennent plus le monde où ils vivent. Il est beau alors que, nous, enfants de Dieu, nous disions : « Je ne le comprends pas non plus, mais je ne suis pas inquiet. Tout se passe conformément à la volonté de Dieu, et l’issue sera heureuse. » C’est là notre assurance intérieure, notre sérénité. »
  • « Dieu est le consommateur : il mène toute chose à bonne fin. Cela nous réjouit et suscite notre enthousiasme. Notre enthousiasme ne dépend pas du nombre de nos frères et sœurs ni de nos exploits. Le sujet de ma joie, c’est l’agir de Dieu, et non pas celui des hommes. »

Conclusion de l’apôtre-patriarche : « Nous connaissons Dieu. Il est grâce et amour ; il secourt, il sauve, il mène à la perfection. Notre confiance, notre amour, notre espérance et notre joie sont l’expression de notre reconnaissance envers lui. Notre témoignage permet à notre prochain de trouver Dieu. »

décembre 7, 2016

Author: Andreas Rother

Print