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Les sacrements (18) : Tout le baptême en huit phrases

septembre 15, 2020

Auteur: Andreas Rother

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Le baptême : un acte tellement simple et pourtant si riche de sens et d’histoire. Plus de la moitié des articles de cette série a déjà traité ce sacrement. Il est temps de faire une synthèse : huit phrases à retenir.

Le baptême vient du terme « plonger » – en tout cas en grec. La création propre au christianisme du terme « baptisma » (baptême) remonte à « baptismós » (bain d’immersion, bain). Pour cette activité, le Nouveau Testament préfère clairement le terme de « baptizō » – plonger avec la connotation de noyer ou couler – à celui de « baptō ». Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Le mot fatal utilisé pour le baptême.

La Bible connaît de nombreuses significations. Le Nouveau Testament ne développe pas de doctrine fermée, mais il fournit de nombreuses approches. Il montre le baptême comme une communauté de destinée avec Christ, le salut par le renouvellement, le fondement pour le don du Saint-Esprit, l’intégration dans la communauté et le début de la fin des choses. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Le baptême en cinq dimensions.

Les circonstances déplacent la définition. La signification concrète de ce sacrement pour les hommes change au cours de l’histoire du monde. Et cela avait beaucoup à voir avec le climat politique général et les influences sociales. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Le baptême en a vu de toutes les couleurs.

Les Saintes Écritures ne disent que peu de choses sur la manière de dispenser ce sacrement. . Jésus a certes incontestablement institué ce sacrement, mais le rite n’est décrit nulle part de façon détaillée. Dans le contexte, cependant, il apparaît clairement que le baptême chrétien a besoin du dispensateur, de l’eau, de la formule et de la profession de foi. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Un rite en évolution.

Ce n’est pas la quantité d’eau qui importe. La forme du baptême s’est très vite développée de diverses manières. Au plus tard depuis l’an 200, il existe trois variantes bien justifiées : l’immersion, l’infusion et l’aspersion. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Immersion ou gouttelettes.

Le baptême d’enfants n’est ni une obligation ni un tabou. Sur ce sujet, aussi, la Bible garde le silence. Ici, aussi, des décisions ont été prises au tout début du christianisme. L’approbation ou le rejet du baptême d’enfants dépend de la façon fondamentale dont on comprend ce sacrement. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Laissez venir à moi les petits enfants ?

Le lieu change au fil du temps. De façon spontanée dans un cours d’eau, en tant qu’événement de masse au siège épiscopal ou en tant qu’action d’urgence à l’hôpital : le lieu du baptême était soumis aux influences les plus diverses. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans l’article intitulé : Le baptême en mouvement.

Réconcilier la diversité nécessite beaucoup de patience. Le baptême est l’introduction dans l’unique Église de Christ. Malgré tout, les Église ont mis du temps avant de parvenir à un dénominateur commun au niveau du rite et de reconnaître mutuellement leurs baptêmes respectifs. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet dans les articles suivants : les étapes au sein de l’Église néo-apostolique et au sein de la chrétienté en général.

septembre 15, 2020

Auteur: Andreas Rother

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