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on équipe des flight-cases. la technique de retransmission peut désormais aussi être envoyée dans le monde entier par le frêt aérien. photo: bischoff verlag. le service divin de la pentecôte de 1996 à nairobi est retransmis vers l’europe pour la première fois grâce à la technique de flight-case. photo: bischoff verlag. jörg idler, le responsable du service av. photo: oliver rütten. photo: oliver rütten. lors des journées européennes de la jeunesse, la maison d’edition bischoff expose le programme de télévision des jej. photo: bischoff verlag. l’équipe de télévision lors des journées européennes de la jeunesse en 2009. photo: bischoff verlag. dans les locaux de la maison d’edition bischoff, des interprètes traduisent dans une douzaine de langues pendant les services divins. photo: bischoff verlag. photo: bischoff verlag. üvias et la liaison montante à l’occasion d’une retransmission en 2013 à londres (grande-bretagne). photo: bischoff verlag. photo: bischoff verlag. une caméra … pour que de nombreuses personnes puissent voir beaucoup de choses. lors du rri, aussi, des caméramans d’avs sont en intervention. photo: marcel felde. en 2013, üvias retransmet le service funèbre pour l’apôtre-patriarche e.r. richard fehr à zurich-hottingen (suisse). photo: bischoff verlag. cela semble si naturel: s’asseoir dans la communauté et vivre le service divin d’apôtre-patriarche sur l’écran. cependant, les moyens techniques déployés en coulisses sont énormes: onze satellites, dix stations terrestres, des câbles à fibres optiques, internet, et, dans certaines parties d’afrique, la télévision terrestre englobent le chemin du signal allant des caméras en zambie jusqu’aux participants au service divin, dans environ 100 pays sur les cinq continents. les antécédents: du son à l’image. un jour, tout cela était néanmoins différent: plus d’un se souvient encore des motifs en nid d’abeilles du revêtement des haut-parleurs, d’où retentissaient le son du service divin via une retransmission téléphonique. dès 1949, les retransmissions se déroulaient régulièrement ainsi – jusqu’en 1983, lorsque l’apôtre-patriarche hans urwyler rentre d’un voyage en amérique du nord en parlant avec enthousiasme des premières vidéo-transmissions qui existent sur place. cela donne l’impulsion nécessaire à la maison d’edition bischoff, appartenant à l’eglise, d’apprendre à marcher aux images des services divins, jusque-là seulement imprimées dans le magazine « unsere familie ». les premières prises de vue d’une petite installation de retransmission ne réussissent dans un premier temps à couvrir que de courtes distances, comme lors de la première en décembre 1983 à sarrebruck (allemagne), de la saarland-halle vers les salles annexes. la technique part en tournée, surtout dans le sud-ouest de l’allemagne. la prochaine étape: de la ville à la région. parce que cela fonctionne bien et que l’intérêt grandit, la technique doit devenir plus mobile. c’est ainsi que naît le premier camion de retransmission, en grande partie de création personnelle. la centrale de régie sur roues vit sa première utilisation en 1985 à waldshut (allemagne), et se déplace désormais dans toute l’europe de l’ouest. outre la zone d’émission, il faut aussi agrandir la zone de réception. l’apôtre-patriarche urwyler fixera cet objectif deux ans plus tard. le service divin de la pentecôte 1988 à fellbach constitue un premier petit pas, service divin au cours duquel son successeur, richard fehr, endossera le ministère d’apôtre-patriarche. outre les 800 communautés reliées par retransmission audio, au moins quelques stations des environs sont reliées par la vidéo. enfin: la retransmission par satellite au niveau international. le grand saut vers la retransmission internationale, telle que la connaît l’eglise aujourd’hui, arrive en 1990 – à la demande explicite du nouveau chef de l’eglise: plus de 270.000 frères et sœurs dans 17 pays d’europe voient la vidéo-transmission du service divin de la pentecôte à vienne. jusque-là, toutefois, il a fallu réaliser un véritable tour de force. car, pour ce faire, il n’a pas seulement fallu transformer le camion de retransmission pour passeer à la technique satellite. il était également nécessaire – et cela en à peine plus d’un an – de faire sortir de terre un nouveau réseau de réception complet: c’est-à-dire, tester, sélectionner et fournir les appareils appropriés, installer les antennes, les câblages et les récepteurs, former les assistants bénévoles sur place, tout cela pour environ 830 communautés. néanmoins: la première a été une réussite. une pause dans la retransmission avec accompagnement choral. tout ne s’est pas toujours aussi bien passé: par exemple, en 1996, lors du service divin de la pentecôte à nairobi, au kenya, lorsqu’un autre émetteur s’est interposé sur le canal satellite à la base réservé, et que la retransmission a été coupée au moment de la sainte cène. ou encore lors de la retransmission à zofingen, en allemagne, lorsque la connexion a été momentanément perdue et que la chorale a dû interpréter un cantique jusqu’à ce que le satellite soit de nouveau accessible, au cours de la troisième strophe. depuis cette époque, beaucoup de choses ont évolué d’un point de vue technique, comme par exemple le passage aux installations d’émission et de réception numériques (en 1997), l’entrée complémentaire dans la transmission par internet (en 2007) et le passage aux caméras en full hd (en 2014). de plus, lors des grandes manifestations, de nouvelles zones d’intervention se sont aussi ajoutées: surtout lors des journées européennes de la jeunesse, en 2009, avec la reproduction en direct des événements en cours, ainsi que lors du rassemblement religieux international, en 2014, avec des projections sur grand écran et des enregistrements sur dvd. des assistants bénévoles en intervention permanente. le rapprochement de la communauté internationale n’est pas uniquement dû à la technique, mais en première ligne à la collaboration de nombreuses personnes: non en dernier des assistants bénévoles, qui, dès les premières retransmissions, ont déjà mis des heures innombrables de leur temps libre au service de l’eglise. que ce soit en tant que caméraman, assistant, technicien ou interprète sur place ou dans la centrale d’émission à francfort, lors du démontage ou de la transformation du réseau d’émission et du camion de retransmission, lors des veilles nocturnes du précieux véhicule ou lors de la manipulation des récepteurs et des écrans au sein des communautés.
Lorsqu’à la Pentecôte, des millions de frères et sœurs seront à nouveau réunis autour du globe pour vivre le service divin, l’Eglise néo-apostolique fêtera un anniversaire : Depuis 25 ans, la transmission audiovisuelle se fait également par satellite vers le monde entier. Aperçu d’une infrastructure pas très ordinaire :
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Le camion de retransmission (« Ü-Wagen », ou « Übertragungswagen », en allemand) de la première génération
Photo : Bischoff Verlag
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Le camion de retransmission de la seconde génération a existé en trois exemplaires
Photo : Bischoff Verlag
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Photo : Bischoff Verlag
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ÜviaS et Uplink (liaison montante) sur le lieu de retransmission
Photo : Bischoff Verlag
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Photo : Lutz Heinrich
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L’apôtre-patriarche Hans Urwyler est venu voir de plus près le camion de retransmission
Photo : Bischoff Verlag
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La commission de consultation en matière de télécommunications présente une liaison montante à l’apôtre-patriarche Fehr en 1989
Photo : Bischoff Verlag
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En 1996, on équipe des Flight-Cases. La technique de retransmission peut désormais aussi être envoyée dans le monde entier par le frêt aérien
Photo : Bischoff Verlag
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Le service divin de la Pentecôte de 1996 à Nairobi est retransmis vers l’Europe pour la première fois grâce à la technique de Flight-Case
Photo : Bischoff Verlag
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Jörg Idler, le responsable du service AV
Photo : Oliver Rütten
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Photo : Oliver Rütten
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Lors des Journées européennes de la jeunesse, la Maison d’Edition Bischoff expose le programme de télévision des JEJ
Photo : Bischoff Verlag
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L’équipe de télévision lors des Journées européennes de la jeunesse en 2009
Photo : Bischoff Verlag
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Dans les locaux de la Maison d’Edition Bischoff, des interprètes traduisent dans une douzaine de langues pendant les services divins
Photo : Bischoff Verlag
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Photo : Bischoff Verlag
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ÜviaS et la liaison montante à l’occasion d’une retransmission en 2013 à Londres (Grande-Bretagne)
Photo : Bischoff Verlag
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Photo : Bischoff Verlag
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Une caméra … pour que de nombreuses personnes puissent voir beaucoup de choses. Lors du RRI, aussi, des caméramans d’AVS sont en intervention
Photo : Marcel Felde
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En 2013, ÜviaS retransmet le service funèbre pour l’apôtre-patriarche e.r. Richard Fehr à Zurich-Hottingen (Suisse)
Photo : Bischoff Verlag
Cela semble si naturel : s’asseoir dans la communauté et vivre le service divin d’apôtre-patriarche sur l’écran. Cependant, les moyens techniques déployés en coulisses sont énormes : onze satellites, dix stations terrestres, des câbles à fibres optiques, Internet, et, dans certaines parties d’Afrique, la télévision terrestre englobent le chemin du signal allant des caméras en Zambie jusqu’aux participants au service divin, dans environ 100 pays sur les cinq continents.
Les antécédents : du son à l’image
Un jour, tout cela était néanmoins différent : Plus d’un se souvient encore des motifs en nid d’abeilles du revêtement des haut-parleurs, d’où retentissaient le son du service divin via une retransmission téléphonique. Dès 1949, les retransmissions se déroulaient régulièrement ainsi – jusqu’en 1983, lorsque l’apôtre-patriarche Hans Urwyler rentre d’un voyage en Amérique du Nord en parlant avec enthousiasme des premières vidéo-transmissions qui existent sur place.
Cela donne l’impulsion nécessaire à la Maison d’Edition Bischoff, appartenant à l’Eglise, d’apprendre à marcher aux images des services divins, jusque-là seulement imprimées dans le magazine « Unsere Familie ». Les premières prises de vue d’une petite installation de retransmission ne réussissent dans un premier temps à couvrir que de courtes distances, comme lors de la première en décembre 1983 à Sarrebruck (Allemagne), de la Saarland-Halle vers les salles annexes. La technique part en tournée, surtout dans le sud-ouest de l’Allemagne.
La prochaine étape : de la ville à la région
Parce que cela fonctionne bien et que l’intérêt grandit, la technique doit devenir plus mobile. C’est ainsi que naît le premier camion de retransmission, en grande partie de création personnelle. La centrale de régie sur roues vit sa première utilisation en 1985 à Waldshut (Allemagne), et se déplace désormais dans toute l’Europe de l’Ouest. Outre la zone d’émission, il faut aussi agrandir la zone de réception. L’apôtre-patriarche Urwyler fixera cet objectif deux ans plus tard.
Le service divin de la Pentecôte 1988 à Fellbach constitue un premier petit pas, service divin au cours duquel son successeur, Richard Fehr, endossera le ministère d’apôtre-patriarche. Outre les 800 communautés reliées par retransmission audio, au moins quelques stations des environs sont reliées par la vidéo.
Enfin : la retransmission par satellite au niveau international
Le grand saut vers la retransmission internationale, telle que la connaît l’Eglise aujourd’hui, arrive en 1990 – à la demande explicite du nouveau chef de l’Eglise : Plus de 270.000 frères et sœurs dans 17 pays d’Europe voient la vidéo-transmission du service divin de la Pentecôte à Vienne. Jusque-là, toutefois, il a fallu réaliser un véritable tour de force.
Car, pour ce faire, il n’a pas seulement fallu transformer le camion de retransmission pour passeer à la technique satellite. Il était également nécessaire – et cela en à peine plus d’un an – de faire sortir de terre un nouveau réseau de réception complet : c’est-à-dire, tester, sélectionner et fournir les appareils appropriés, installer les antennes, les câblages et les récepteurs, former les assistants bénévoles sur place, tout cela pour environ 830 communautés. Néanmoins : la première a été une réussite.
Une pause dans la retransmission avec accompagnement choral
Tout ne s’est pas toujours aussi bien passé : Par exemple, en 1996, lors du service divin de la Pentecôte à Nairobi, au Kenya, lorsqu’un autre émetteur s’est interposé sur le canal satellite à la base réservé, et que la retransmission a été coupée au moment de la sainte cène. Ou encore lors de la retransmission à Zofingen, en Allemagne, lorsque la connexion a été momentanément perdue et que la chorale a dû interpréter un cantique jusqu’à ce que le satellite soit de nouveau accessible, au cours de la troisième strophe.
Depuis cette époque, beaucoup de choses ont évolué d’un point de vue technique, comme par exemple le passage aux installations d’émission et de réception numériques (en 1997), l’entrée complémentaire dans la transmission par Internet (en 2007) et le passage aux caméras en full HD (en 2014). De plus, lors des grandes manifestations, de nouvelles zones d’intervention se sont aussi ajoutées : surtout lors des Journées européennes de la jeunesse, en 2009, avec la reproduction en direct des événements en cours, ainsi que lors du Rassemblement religieux international, en 2014, avec des projections sur grand écran et des enregistrements sur DVD.
Des assistants bénévoles en intervention permanente
Le rapprochement de la communauté internationale n’est pas uniquement dû à la technique, mais en première ligne à la collaboration de nombreuses personnes : non en dernier des assistants bénévoles, qui, dès les premières retransmissions, ont déjà mis des heures innombrables de leur temps libre au service de l’Eglise. Que ce soit en tant que caméraman, assistant, technicien ou interprète sur place ou dans la centrale d’émission à Francfort, lors du démontage ou de la transformation du réseau d’émission et du camion de retransmission, lors des veilles nocturnes du précieux véhicule ou lors de la manipulation des récepteurs et des écrans au sein des communautés.