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Deux apôtres-patriarches sont rarement réunis

avril 1, 2016

Auteur: Peter Johanning

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Dans la plupart des cas, c’est un apôtre-patriarche qui rend visite à une communauté et qui prêche. Dans la communauté de Nordheide, ils étaient deux apôtres-patriarches : l’apôtre-patriarche actif prêchait, et l’apôtre-patriarche à la retraite tenait l’orgue. C’était un événement rare.

Nordheide

Nordheide est une ville aux portes de Hambourg (Allemagne). De là, il faut à peu près 30 minutes jusqu’à la métropole portuaire, la porte donnant sur le monde. Là, à Nordheide, vit l’apôtre-patriarche Wilhelm Leber. Depuis son admission à la retraite, à la Pentecôte 2013, il y est l’un des membres de la communauté, qui tient l’orgue de temps en temps. Tel était le cas en ce vendredi saint. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider avait annoncé sa visite, et il se réjouissait de pouvoir voir son prédécesseur à l’œuvre en tant qu’organiste. Pour lui aussi, c’était un service divin ayant un cachet particulier : sans vidéotransmission par satellite, seule la petite communauté ainsi que l’apôtre de district, l’apôtre et l’évêque en charge du district étaient invités.

L’atmosphère de bien-être dans la petite communauté n’a pas laissé la pesanteur habituelle d’un vendredi saint s’installer. Au cours de sa prédication, le chef de l’Église a mis en évidence le fait qu’un chrétien pouvait regarder le vendredi saint avec reconnaissance. Comme base à sa prédication, l’apôtre-patriarche avait choisi la parole en Esaïe 53 : 10. Il a mis en évidence le fait que, par amour pour les hommes, le Fils de Dieu s’était mis à leur hauteur. « Il a vaincu le mal. Lorsque nous sommes exposés au mal, nous trouvons la force en Christ de rester fidèles à Dieu, de nous focaliser sur sa volonté, de le servir et de pardonner à notre prochain », a déclaré l’apôtre-patriarche.

Kedoya

Kedoya est un quartier à l’ouest de la capitale indonésienne, Jakarta. Le 9 mars 2016, une journée de la famille avait été prévue au sein de la communauté néo-apostolique locale. La devise était la suivante : « Une Kedoya – One Kedoya ». Environ 100 membres de la communauté y ont participé. La journée a débuté par une prière, un petit-déjeuner en commun et des chants. Des jeux étaient ensuite prévus au programme. Après le déjeuner, un séminaire a tout d’abord eu lieu pour les jeunes participants, sur le thème de la conception des sacrements, tandis que les plus anciens se sont entretenus au sujet de l’unité. Le soir, toute la communauté s’est retrouvée pour le service divin, célébré par l’ancien de district responsable.

Kimberley

Kimberley compte près de 100 000 habitants, et elle est la capitale de la province sud-africaine de Nordcap. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider y a prêché le dimanche 20 mars 2016, sur la base de la parole biblique extraite de Marc 11 : 17. La maison de prière, et ce que les hommes en ont fait en tout temps, était au centre de la prédication. À la fin du service divin, le chef de l’Église a ordonné deux nouveaux apôtres – l’un pour le Mozambique, où les communautés néo-apostoliques sont desservies par l’Église territoriale du Sud-Est africain, et l’autre pour l’Église territoriale voisine du Cap ; Armindo Mazuze (53 ans, Mozambique) et Jacques Eugené Cronjé (49 ans, Le Cap).

Togo

Après une longue et grave maladie, Dieu a rappelé à lui l’apôtre e.r. Yaovi Afoutou. Il est né en 1942 au Togo. Il est devenu néo-apostolique à l’âge de 44 ans, puis scellé avec sa famille en juin 1986. En 1988, il a été ordonné dans le ministère de prêtre, suivi d’autres ministères, jusqu’à ce qu’il soit ordonné, en 1998, dans l’apostolat, par les mains de l’apôtre-patriarche Richard Fehr. Encore pendant son mandat ministériel, l’apôtre a été atteint d’un diabète. Le bas d’une jambe a dû lui être amputé, et sa vue a baissé jusqu’à devenir pratiquement aveugle. Malgré cette situation, il a continué à servir dans une grande crainte de Dieu, jusqu’à son admission à la retraite bien méritée, par l’apôtre-patriarche Leber, le 16 novembre 2008.

avril 1, 2016

Auteur: Peter Johanning

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