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Faire preuve d’empathie et aider plutôt que juger

13 08 2025

Auteur: Sophie Berg

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Le chemin vers Dieu est ouvert à tous les hommes, qu’ils soient riches ou pauvres, jeunes ou vieux. Tout ce qu’il faut : le respect pour Dieu et l’amour actif. 

Le dimanche 25 mai 2025, l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a célébré un service divin à Luanshya, en Zambie, en présence de plus de 10 400 participants. Cette parole tirée d’Actes 10 : 34-35 a servi de base : « Alors Pierre, ouvrant la bouche, dit : En vérité, je reconnais que Dieu ne fait point de favoritisme, mais qu’en toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable. » 

Dieu veut sauver 

Aujourd’hui comme hier, le principe suivant s’applique : « Dieu aime tous les hommes exactement du même amour ». C’est ce qu’a déclaré le responsable de l’Église. Peu importe le pays ou la tribu, l’âge, le fait d’être riche ou pauvre, en bonne santé ou malade, éduqué ou non, femme ou homme. Dieu donne à chacun la possibilité « d’entrer dans son royaume et d’être en communion avec lui dans sa gloire ». 

L’apôtre-patriarche a souligné : « Dieu n’a pas besoin de changer les conditions de vie des gens. » Dieu peut les sauver tous dans leurs situations de vie personnelles. Bien sûr, chacun intercède, par amour, pour son prochain afin que Dieu lui accorde ce dont il a besoin et l’aide. L’apôtre-patriarche a rappelé que parfois Dieu aide, parfois non. « Ne vous inquiétez pas ; même si vous vous trouvez dans une situation très difficile, cela n’empêchera pas votre rédemption. Dieu vous sauvera et il peut vous sauver. » 

La voie du salut 

La chose la plus importante pour être sauvé est de craindre Dieu et de se comporter de manière vertueuse. 

Craindre Dieu : « Que signifie craindre Dieu ? », a demandé le responsable de l’Église. « Montrer à Dieu le respect qui lui est dû. » Il est le Tout-Puissant et le Parfait ; les hommes, eux, sont tous des pécheurs, a-t-il ajouté. « Celui qui craint Dieu est obéissant  » et fait confiance à son jugement pour savoir ce qui est bien et ce qui est mal. « Celui qui craint Dieu est humble et sait : Je suis tout sauf parfait » Chaque homme fait tant le bien que le mal, a souligné l’apôtre-patriarche, et il dépend par conséquent de la grâce du Seigneur. Dieu est vérité : « Il fait ce qu’il dit et dit ce qu’il fait. » 

Rendre justice : celui qui veut être justifié doit croire en Jésus-Christ, en son enseignement, en son sacrifice, en sa résurrection et en son retour : « Sans foi il est impossible d’être justifié. » Un chrétien justifié est quelqu’un qui reste dans l’imitation de Christ pour obtenir la vie éternelle, pas pour améliorer sa vie sur terre. « Pour être sauvé, tu dois devenir comme Christ, car il est le Juste. » 

Le comportement des justes 

Dans son discours sur le jugement des nations (Matthieu 25 : 34-46), Jésus-Christ donne des exemples concrets de la manière dont les justes se comportent. En fait partie : 

Aider les pauvres : « Le véritable amour ne consiste pas seulement en paroles et en prières, mais en actions. » Le juste améliore les situations, apporte un soutien total et tente de soulager la souffrance des autres par amour. « Jésus dit : ‘Traite ton prochain comme tu aimerais être traité par lui’. » Et le responsable de l’Église de poursuivre, disant que chaque être humain a besoin d’être considéré et respecté, ainsi que de se voir pardonné et aimé. « Donnez-leur ce dont ils ont besoin », a lancé l’apôtre-patriarche. 

Ouvert aux étrangers : « L’étranger est celui qui n’est pas comme nous. » Le juste accueille l’étranger et le fait entrer. Même s’ils sont différents, a-t-il soutenu, personne n’a le droit de les obliger à changer. Dieu les aime et veut les sauver tels qu’ils sont. « Tu ne peux pas être plus exigeant que Dieu. » L’essentiel, selon l’apôtre-patriarche, est d’adopter la bonne attitude, de considérer son prochain pour ce qu’il est : un individu et pas seulement un membre d’un groupe. 

Rendre visite aux malades et aux prisonniers : « J’étais malade et vous m’avez rendu visite », a dit Jésus. Il ne nous appartient pas de résoudre tous les problèmes de notre prochain et de le guérir. Il n’en reste pas moins que les souffrances et les afflictions doivent être prises en compte, a encore ajouté l’apôtre-patriarche. « Le juste est celui qui aime, qui participe à la souffrance de son prochain, qui le console et qui l’aide. » 

Les prisonniers sont ceux qui ont commis une faute et qui en subissent à présent les conséquences. Ce n’est pas à nous de changer ces choses, de porter des accusations et de punir, a ajouté l’apôtre-patriarche. « Le juste est celui qui rend visite à ceux qui sont en prison » et qui fait preuve de compassion à son égard. Car : Tous ont besoin de grâce. 

13 08 2025

Auteur: Sophie Berg

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