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L’Afrique sous les feux de la rampe

octobre 8, 2015

Auteur: Peter Johanning

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Des sujets théologiques, des thèmes organisationnels : Lorsque les apôtres de district d’Afrique se réunissent, ils ont toujours de nombreux thèmes à discuter. Cette fois-ci, c’est le magazine des membres « African Joy » qui était au centre des discussions – Compte rendu de l’assemblée des apôtres de district d’Afrique à Johannesburg.

Dès le début, l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider met en évidence l’importance des Églises territoriales d’Afrique pour l’ensemble de notre Église. Car c’est sur le continent africain que vivent, de loin, la plupart des membres de l’Église néo-apostolique. C’est pourquoi il est extrêmement important de se consacrer aux thèmes typiquement africains et d’en discuter au niveau de l’ensemble de l’Église.

African Joy – Le magazine lu par plusieurs millions de membres

Notamment en ce qui concerne la communication. Le magazine des membres « African Joy » est bien introduit depuis de nombreuses années. Environ 1,5 millions d’exemplaires sont distribués chaque année, traduits en 19 langues. Ce sont avant tout les langues locales qui sont demandées. Au final, le but est de toucher réellement les différents groupes-cibles, nous révèle l’apôtre de district Michael Deppner, de la R.D. du Congo, dans ses paroles d’introduction. Il est le coordinateur d’un petit groupe de travail, qui travaille à l’élaboration des numéros.

Or, « African Joy » n’a pas été introduit dans toutes les Églises territoriales africaines. En outre, il existe un large éventail de différents contenus. La stratégie de communication utilisée au niveau mondial doit-elle aussi être utilisée ici ? Faudrait-il peut-être aussi introduire « community », l’autre magazine de l’Église néo-apostolique internationale, en Afrique ? Ces questions étaient au centre des discussions.

Un mot en anglais pour quatre mots en tshiluba

Non, « African Joy » n’est pas seulement un nom, le magazine est également axé sur les goûts africains dans son aspect extérieur et dans son contenu. Une reprise de « community » ne peut se faire, au mieux, que sur son contenu, mais pas du point de vue de la mise en page ni de sa présentation technique. Voici un exemple pour l’illustrer : « Un mot en anglais nécessite quatre mots en tshiluba », a fait remarquer l’apôtre-patriarche. Rien qu’au niveau de la mise en page, une uniformité des deux magazines est exclue.

Par conséquent, les choses resteront telles qu’elles sont actuellement : L’Église internationale assume actuellement la responsabilité de quatre outils de communication – « community », là où les numéros non germaniques du magazine « Unsere Familie » ont été supprimés, « African Joy », dans les pays africains, et trois offres en ligne : nac.today, nak.org et nacworld.net.

Rétrospective de la Pentecôte en Zambie

L’apôtre de district Charles Ndandula a débuté la session, à laquelle se réunissent tous les apôtres de district et leurs adjoints assumant une responsabilité sur le continent africain, par une rétrospective. Sa conclusion : L’événement de la Pentecôte, au mois de mai 2015 à Lusaka (Zambie), était un franc succès, et pas seulement d’un point de vue spirituel.

L’aspect technique s’est également parfaitement déroulé. Plusieurs millions de fidèles du monde entier ont pu suivre la vidéotransmission par satellite du service divin de la Pentecôte, qui a été traduit en plus d’une vingtaine de langues. L’apôtre-patriarche Schneider a loué l’hospitalité zambienne, et les participants ont spontanément applaudi.

Un continent ayant ses propres défis

L’apôtre de district Noel Barnes a donné un aperçu détaillé des performances accomplies au sein de son Église territoriale au Cap, pour donner suite au souhait de l’apôtre-patriarche, formulé lors de l’assemblée des apôtres en Afrique, à Lusaka. « Je vous exhorte à donner la priorité à ces deux missions : Enseignez les frères du ministère, et instaurez, dans toutes les communautés, l’école du dimanche pour les enfants », avait demandé à l’époque le président international de l’Église en Zambie.

L’apôtre de district Barnes a qualifié les efforts actuellement consentis à Johannesburg, au sein de son champ d’activité au Cap, de « big five » – cinq défis majeurs, de l’exigence de fond à l’exigence financière. L’apôtre de district Joseph Ekhuya (Afrique orientale) et l’apôtre de district adjoint John Sobottka (République du Congo, Tchad, Rwanda, République centrafricaine) ont également apporté leur contribution.

Dans la soirée, les apôtres de district ont célébré des services divins dans différentes communautés dans les environs de Johannesburg et de Pretoria. Dans l’ensemble, il y a peu de temps pour se reposer, de nombreux rendez-vous à respecter et beaucoup de travail à accomplir. L’assemblée des apôtres de district en Afrique fait partie de l’assemblée internationale des apôtres de district, qui se tient actuellement à Johannesburg, en Afrique du Sud.

octobre 8, 2015

Auteur: Peter Johanning

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