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Le début de la fin : le début des choses nouvelles

avril 13, 2019

Auteur: Peter Johanning

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Jésus entre à Jérusalem … sur le dos d’un ânon. Pour un grand nombre de personnes présentes, c’est impensable. Car il avait été attendu en tant que Messie et annoncé en tant que roi, et maintenant, cela ! À la fin de la semaine, Jésus-Christ sera mis à mort.

C’est une semaine très agitée dans le calendrier liturgique : sainte cène, lavement des pieds, trahison, arrestation, procès public de façade, torture, crucifixion et résurrection le troisième jour. Quiconque souhaite expérimenter la doctrine chrétienne avec tous ses sens sera servi ces jours-ci.

L’arrivée du Prince la paix

Tout commence le dimanche des Rameaux, qui porte son nom parce qu’à l’époque, les gens ont déposé des branches de palmier sur le sol à l’entrée du Seigneur dans la ville. On percevait une grande liesse et des cris de victoire. La puissance occupante des Romains devait savoir que le roi annoncé apporterait la victoire. Or, celui-ci n’est pas arrivé avec une armée et des armes, mais tout simplement sur un ânon – en paix, sans déclaration de guerre.

Que signifie cela ?

Que signifie aujourd’hui le dimanche des Rameaux pour nous, chrétiens ? Voici quelques positions personnelles à ce sujet :

Björn (35 ans), d’Allemagne : « Le dimanche des Rameaux est le jour des fausses attentes et du malentendu. C’est en même temps le jour de l’humilité et de la vue directe sur le vendredi saint et sur Pâques. »

Karin, du Brésil : « Le dimanche des Rameaux est un jour important pour les chrétiens : ils se souviennent de l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem. Dans les communautés néo-apostoliques au Brésil, ce n’est pas différent. La chorale interprète des cantiques en rapport avec le thème du dimanche des Rameaux, et l’autel est décoré de branches de palmier et de fleurs. »

Adam (33 ans), des États-Unis : « Le dimanche des Rameaux est le début de la semaine de la Passion, dont la fête de Pâques marque la fin. Ce qui est particulier : Ce sont les derniers jours de Jésus-Christ sur terre qui commencent, qui sont en même temps si importants pour notre salut. »

Brent (36 ans), d’Afrique du Sud : « Le dimanche des Rameaux, c’est accepter Jésus et reconnaître Christ comme notre roi éternel. Jésus a été accueilli comme un sauveur et roi terrestre par des êtres humains qui avaient des attentes terrestres. »

Eko (47 ans), d’Indonésie : « Je me souviens encore très bien du récit vivant de notre monitrice de l’école du dimanche relatif à l’entrée du Seigneur à Jérusalem, lorsqu’il était sur le dos de l’ânon et que les gens jetaient leurs vêtements sur son chemin. Quelques années plus tard, j’ai moi-même raconté cet événement mémorable aux enfants de l’école du dimanche. C’est incroyable. »

Immanuel (51 ans), d’Inde : « Le dimanche des Rameaux est l’entrée triomphante de Jésus à Jérusalem. Aujourd’hui, cela nous rappelle de ne pas mettre Jésus sur le même pied d’égalité que les autorités temporelles. De même, un message clair ressort de l’entrée de Jésus dans le temple : Le temple doit être un lieu de prière et rien d’autre. »

Indira (40 ans), d’Inde : « Nous lisons dans la Bible que le dimanche des Rameaux, le Seigneur est entré à Jérusalem sur un ânon dans une vaste procession. C’est exactement la même chose dans ma communauté à Hyderabad (Inde) : avant le service divin des Rameaux, nous nous rassemblons avec des tambours et nous faisons de la musique. Nous déposons des branches de palmier pour en décorer l’autel. »

Dario (37 ans), d’Argentine : « Jésus veut entrer dans mon cœur. »

Geoff (68 ans), d’Australie : « Le dimanche des Rameaux me rappelle la joie exprimée lors de l’entrée de Jésus dans la ville de Jérusalem. Mais il rappelle également que Jésus a continuellement été trahi et rejeté. »

Lauren (35 ans), d’Australie : « Bien que Jésus ait été accueilli comme un roi à son entrée à Jérusalem, le dimanche des Rameaux nous rappelle que le royaume de Jésus-Christ est beaucoup plus grand que celui des rois terrestres en raison du sacrifice ultime que Jésus a consenti pour nous. »

Gunnar (55 ans), d’Allemagne : « Le dimanche des Rameaux est le début du chemin le plus difficile qu’un homme n’aie jamais emprunté. Nous le désignons aussi par le « chemin de croix du Seigneur ». Personne n’a besoin de le refaire, car Jésus-Christ a pu s’exprimer, à la fin de ce chemin : « C’est accompli ! » C’était un sacrifice pour le monde. »

avril 13, 2019

Auteur: Peter Johanning

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