Professer notre foi en Jésus en toutes situations

Professer sa foi : en fuite, dans un camp de réfugiés

Dans un camp de réfugiés, 50 chrétiens ont reçu le sacrement du saint-scellé. Dimanche dernier, l’apôtre James Kasongo, de Lusaka (Zambie), a célébré un service divin avec 300 participants dans le camp de « Mantapala Refugee Camp » où il a dispensé le don du Saint-Esprit.

L’apôtre a basé sa prédication sur la parole biblique en I Jean 4 : 19-20. Dans ses explications, il a souligné la situation des frères et sœurs en fuite : « L’amour pour Jésus-Christ nous incite à aider notre prochain qui est en détresse. Nous ne pouvons pas choisir qui nous devons aider, mais nous voulons aider chaque personne qui a besoin de nous, car c’est ce que souhaite notre Seigneur. » Et il ajoute : « Nous devons aussi savoir que l’amour de notre Seigneur Jésus-Christ est plus grand que la haine, nous devons donc toujours témoigner de l’amour à chacun, même à ceux qui ne nous aiment pas. »

Mantapala est un camp de réfugiés dans la province septentrionale de Luapala (Zambie). Il a été créé début 2018 et héberge quelque 15 000 réfugiés sur 8000 hectares, pour la plupart originaires de la République Démocratique du Congo voisine. En raison des conflits qui y sévissent depuis plusieurs années, des gens ont régulièrement dû fuir en Zambie voisine. Le gouvernement zambien coordonne et dirige l’aide d’urgence via le Haut Commissaire des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR) et en collaboration avec les agences des Nations Unies. Dans le camp de réfugiés, il y a beaucoup de frères et sœurs néo-apostoliques, qui se réunissent régulièrement pour vivre des services divins.

Professer sa foi : attirer l’attention grâce à l’art

« La mosaïque qui se trouvait sur le mur derrière l’autel de l’ancienne église est désormais apposée sur la façade extérieure de la nouvelle église et peut ainsi être partagée avec toute la ville », écrivent les membres de la communauté d’Oldenbourg (Allemagne nord-orientale) avec fierté. « Même le conseiller régional de l’Ammerland, Jörg Bensberg, s’est réjoui qu’il reste quelque chose de l’ancienne église. « Le motif, qui représente une croix, unit tous les chrétiens. » Les milliers de petits fragments de pierre forment ensemble une image magnifique. « Chaque fragment de pierre, qu’il soit brillant ou mat, est important pour l’image dans son ensemble. S’il en manque quelques-uns, la mosaïque n’a plus d’effet », s’est exprimé M. Bensberg en comparant la mosaïque avec la communion de la communauté, dans laquelle chacun a sa place. »

Et il y a une particularité à découvrir : « Si on essaie de trouver l’angle de projection de l’impact des rayons du soleil, la croix resplendit en or brillant. Essayez donc, vous serez enthousiasmés », a expliqué la première présidente de la Fondation pour l’art et la culture à Westerstede (Allemagne), Madame Melanie Schneider. Elle a classé le transfert de la mosaïque comme l’un des projets artistiques les plus importants, créatifs et impressionnants à Westerstede.

Professer sa foi : ensemble avec les chrétiens de nombreuses confessions

En Allemagne, l’Église néo-apostolique (ÉNA) d’Allemagne occidentale a été reconnue en tant que membre invité au sein du Conseil d’Églises chrétiennes (CEC) Sud-Ouest. L’apôtre de district Rainer Storck en avait fait la demande au mois d’août de l’année dernière.

Depuis début octobre, déjà, l’ÉNA d’Allemagne occidentale est déjà membre invité au sein du CEC de Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne occidentale).

Le CEC a été créé en 1948. Il constitue le Conseil d’Églises national pour l’Allemagne et il est l’organisation associée auprès du Conseil œcuménique des Églises (ÖRK). Parmi les missions du CEC, il y a notamment la communication et la consultation mutuelles dans le témoignage, le service et la prière communs, dans le soutien de la collaboration entre les Églises et la promotion de la discussion théologique avec pour un objectif de clarté et d’entente mutuelle.

Les affiliations ou la collaboration renforcée au-delà des limites confessionnelles existe déjà depuis de nombreuses années et décennies aussi dans d’autres pays européens, ainsi qu’en Argentine, en Inde, en Uruguay et aux États-Unis, et dans différents pays africains.