Couleur du site web:

apostles.today

Que dit l’apôtre-patriarche au sujet …

décembre 27, 2018

Auteur: Oliver Rütten

Imprimer
Écouter

Cette question revient souvent. Les réponses et les indications à ce sujet se trouvent dans les prédications des mois écoulés. Voici les grandes lignes issues de services divins de l’apôtre-patriarche de l’année 2018.

… de la valeur du dimanche ?

Les chrétiens qui célèbrent le dimanche font une double profession de foi, s’est exprimé l’apôtre-patriarche Schneider à Cologne (Allemagne). Il y a d’une part la profession de foi relative à la résurrection de Jésus-Christ : « Nous ne sommes pas d’accord avec les agissements du malin, avec l’injustice, avec la domination du mal, et nous le signalons. Nous nous réunissons le dimanche et nous professons : Nous ne sommes pas d’accord avec ces agissements. Nous croyons en la victoire du bien sur le mal. » Et, d’autre part, l’attente de notre propre résurrection : « Nous attendons notre résurrection, et quoi que nous ayons vécu, quoi que nous ayons traversé, quoi que nous ayons vu, notre priorité reste notre résurrection. »

… de la bonne manière de servir ?

« Un serviteur fidèle est un serviteur fiable, constant. Qui fait son travail lorsqu’il est plaisant, mais aussi lorsqu’il ne fait pas plaisir ; lorsqu’il est beau et facile, mais aussi lorsqu’il devient difficile ; qu’on le félicite ou qu’on le critique ; qu’on le remercie ou qu’on l’ignore », s’est exprimé le chef de l’Église à Berlin (Allemange). Et à Ocna Mures (Roumanie), il a expliqué : « Agir et œuvrer dans l’esprit de Jésus-Christ signifie être conscient du fait que je sois un serviteur, et non un souverain. »

… de l’attitude à l’égard des pécheurs ?

« Si quelqu’un est tombé dans le péché, nous savons qu’il ne sert à rien de lui faire la morale. Le faible a besoin d’amour, il a besoin de grâce, il a besoin de compréhension », a expliqué l’apôtre-patriarche à Berlin (Allemagne). Et à Baia Mare (Roumanie), il a ajouté : « Nous voulons également nous imprégner de cette mentalité de Jésus : Nous n’attendons pas de Dieu qu’il punisse les pécheurs ni qu’il condamne les méchants. »

… de la bonne gestion du temps ?

Beaucoup de choses dans la vie sont prioritaires. « Lorsque le feu de l’Évangile brûle dans le cœur du croyant », disait l’apôtre-patriarche à Landquart (Suisse), « cela établit de nouvelles priorités : Nous devons prendre le temps – prendre le temps pour le service divin, mais aussi prendre le temps pour la prière et pour nous consacrer à l’Évangile. »

… d’une mission particulière des parents ?

Enthousiasmer la génération montante pour Jésus-Christ nécessite du temps, des efforts et parfois aussi un peu de dépassement de soi. Pour l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider, il était évident, à Landquart (Suisse) : « Cela ne peut pas être délégué à l’Église. C’est à toi de le faire, cher père ! C’est à toi de le faire, chère mère. Et afin de pouvoir transmettre ce feu à tes enfants, il doit d’abord brûler en toi. Ensuite, il faut encore que tu prennes le temps de parler de Jésus-Christ à tes enfants. Il faut que tu prennes le temps de prier avec eux. »

… de l’élection ?

À Ocna Mures (Roumanie), le président de l’Église a expliqué que le fait d’être élu signifiait « servir Jésus en tant que régénérés d’eau et d’Esprit ». Et cela se produit de multiples façons – en tant que témoins dans le monde : « Nous devons rendre témoignage de l’Évangile là où nous vivons » ; en tant que membres du corps de Christ : « Nous voulons nous servir les uns les autres et mettre nos dons au service de Jésus au sein de l’Église de Christ » ; et en tant que sacrificateurs de Dieu, dans le royaume de paix : « Afin que tous les hommes puissent venir auprès de Jésus-Christ, dans la gloire de Dieu. »

… de la façon de gérer les épreuves et la souffrance ?

Pour entrer dans le royaume de Dieu, nous devons aussi mener des combats personnels aujourd’hui : « Nous tombons malades, ou l’un de nos proches tombe malade ou meurt. Nous perdons notre travail ou nous subissons une injustice. » – et ce, malgré notre fidélité à Dieu depuis de nombreuses années. L’apôtre-patriarche Schneider à Rosario (Argentine) : « Ne soyons pas indignés lorsque Dieu nous demande de mener un combat supplémentaire ! Acceptons ce défi ! Avec l’aide de Dieu, nous remporterons la victoire ! » Et à Kinshasa (RD Congo), il a expliqué : « Les souffrances que nous vivons aujourd’hui sont légères, et elles ne dureront pas éternellement. Pensez à la gloire que Dieu nous donnera, qui sera éternelle ! »

… de l’égoïsme ?

« Dieu ne nous demande pas de renoncer à notre personnalité et à notre volonté. Ce qu’il attend de nous, c’est que nous renoncions au culte du moi », a exprimé l’apôtre-patriarche à Leipzig (Allemagne). « Qu’est-ce donc que l’égocentrisme ? C’est lorsque je me place au centre. Tout tourne autour de moi. Et je considère tout en fonction de ma propre personne. » Ceci est définitivement un mauvais côté du « moi », qui est absolument incompatible avec la foi chrétienne.

… du vivre ensemble ?

Les différences humaines n’empêchent pas l’unité en Christ : « Nous avons besoin de nos différences. Car nous voulons former une équipe, qui combat pour Dieu et avec Dieu », s’est exprimé l’apôtre-patriarche Schneider à Washington (États-Unis).

… de la prière ?

« Vous n’avez pas besoin de prier nuit et jour. Mais, je vous en prie, cherchez régulièrement le contact avec Dieu. Ne priez pas seulement au cours du service divin. S’il vous plaît, prenez le temps de faire des prières personnelles. » Cela suppose aussi de remercier Dieu sans cesse : « Il y a tant de personnes qui sont insatisfaites. Si elles étaient un peu plus reconnaissantes envers le bon Dieu, elles éprouveraient plus de joie et plus de paix », a exprimé le président de l’Église à Karlsruhe (Allemagne). Et à Albstadt (Allemagne), il a ajouté douze demandes que Dieu entend.

… de la réception de la sainte cène ?

« La sainte cène doit avoir des répercussions visibles sur les croyants et sur l’Église », s’est exprimé l’apôtre-patriarche à Dar es Salam (Tanzanie). « Quiconque croit en la victoire de Christ n’a aucune raison de craindre l’avenir. » Et dans la relation au prochain, aussi, on constate un changement : « On ne souligne plus les fautes qu’il a commises. »

… de la préparation et du suivi des services divins ?

« Il est important et utile de préparer et d’assurer le suivi de la prédication, en lisant dans la Bible ; telle est notre mission. » Car la connaissance de la Bible apporte l’assurance et la consolation, approfondit la prédication et augmente son efficacité, et permet de reconnaître certaines visions incompatibles avec l’Évangile, a exprimé le primat de l’Église à Trebaseleghe (Italie).

… du retour de Jésus-Christ ?

« Nous croyons en le dessein de Dieu. Nous y aspirons, nous l’attendons avec patience et nous nous y préparons », s’est exprimé l’apôtre-patriarche. Cependant : Dans le monde chrétien, il perçoit certes la foi, « mais l’espérance en l’avenir, elle, a diminué. » Or, l’espérance fait partie de la foi : « Là où la foi n’est pas associée à l’avenir, elle devient une tradition ou une morale, mais elle n’apporte pas le salut. Gardons fermement cette espérance », a mis en garde l’apôtre-patriarche Schneider à Berne-Ostermundigen (Suisse). « Je ne suis définitivement pas un rêveur », s’est exprimé l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider à Brisbane (Australie). « De temps en temps, néanmoins, cela vaut la peine de réfléchir à ce que cela signifie : être délivré de tous les maux, avoir un corps de résurrection, être tout simplement parfait, être conforme à la volonté de Dieu, vivre en parfaite harmonie avec Dieu et entre nous et avoir cette mission particulière d’aider tous les hommes à être sauvés en Jésus-Christ. Je te le dis, plus j’y réfléchis, plus je suis enthousiaste, c’est cela notre avenir ! »

décembre 27, 2018

Auteur: Oliver Rütten

Imprimer