Je suis au milieu d’eux. C’est ce que promet Jésus à tous ceux qui participent au service divin, qu’il soit en présentiel ou virtuel.

Une seule Église ? Plutôt deux centres avec des cultures très différentes. Un homme a rassemblé les deux extrémités, et a posé de nombreux autres fondements : Friedrich Wilhelm Menkhoff, appelé à l’apostolat il y a 150 ans.

Quand on ne détourne pas le regard, on voit beaucoup de situations où l’on peut aider. Peu importe que beaucoup ou peu de personnes regardent, l’aide est acceptée avec gratitude : en Ukraine, au Sierra Leone ou en Asie du Sud-Est.

Le nombre de cas augmente et diminue, les décisions administratives sont renforcées puis assouplies – la pandémie liée au coronavirus est vécue différemment à travers le monde. L’offre des services divins par téléphone et par vidéo est, quant à elle, maintenue.

Le 13 mai 1922, il y a donc 100 ans, l’apôtre Albert Güldenpfennig décédait – bien trop tôt. Le 33e apôtre de l’Église néo-apostolique a toujours été présent pour ses frères et sœurs. Rétrospective d’une vie mouvementée.

La pastorale est un travail minutieux pour lequel l’écoute est une priorité absolue. Les référents pastoraux doivent apprendre à comprendre les personnes qui s’adressent à eux. Reconnaître leur état d’esprit et explorer les solutions possibles ne relève pas de la magie. Écouter ne signifie pas se taire, mais parler avec le cœur.

En période de pandémie, ils constituent une offre fiable : les services divins vidéo centraux, diffusés à partir de nombreux pays et fuseaux horaires. – Tous les changements ont été pris en compte dans l’aperçu hebdomadaire.

Un homme de 34 ans originaire de Bosnie parle, selon une agence de traduction, 73 langues. Mais même doté d’un tel talent, il ne serait pas possible de communiquer dans toutes les langues de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider, quant à lui, opte pour le langage du cœur.

« Pâques nous rappelle : Frère, sœur, ne te fais donc pas de soucis, le Seigneur est là ! » Voilà, résumé en une phrase, le message pascal 2022 de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider, prêché au cours du service divin de Pâques à Bünde (Allemagne).

Comment pouvons-nous être proches de quelqu’un sans être près de lui ? Ouvrir de nouveaux horizons pour la devise annuelle « Ensemble en Christ » – voici quelques réflexions de l’apôtre de district John Kriel (Afrique du Sud).

Le chemin qui consistait à aller les uns vers les autres consiste désormais à poursuivre ensemble. Au cours des 22 dernières années, le travail œcuménique de l’Église néo-apostolique a beaucoup évolué. L’un de ceux qui a beaucoup œuvré dans ce domaine vient de prendre sa retraite.

Les effets de la fête de Pâques sont loin d’être terminés. La joie de la résurrection de Jésus est toujours au centre des préoccupations. Le service divin du dimanche s’y consacre également.

Le sacrifice de Jésus – aussi cruel qu’il ait été, il montre l’amour inconditionnel de Dieu pour ses enfants. La réponse des croyants à cet amour : aimer en retour. Tel était le contenu de la prédication de l’apôtre-patriarche le vendredi saint.

La pandémie empêche encore de nombreux croyants d’assister aux services divins. La parole de Dieu peut néanmoins être reçue. Car la parole de Dieu s’étend au-delà de toute église.

Tamara Hainz, de la communauté de Lauffen (Allemagne), s’engage bénévolement depuis plusieurs années dans le travail en centre de soins palliatifs. La jeune femme de 24 ans nous parle de son engagement et des expériences qu’elle a vécues dans ce cadre.

C’est une belle image : Jésus est assis à table avec ses disciples et passe la coupe à son voisin, qui la passe à son voisin, et ainsi de suite, jusqu’à ce que tous aient bu. Pour l’apôtre de district Mark Woll, du Canada, il s’agit d’une idée concrète qui est liée à notre devise de l’année 2022.

La vie est suivie de la mort – Jésus a inversé l’équation. Quelques jours après sa mort, il est revenu, vivant. La défaite apparente s’est transformée en victoire.

« Je n’ai jamais autant apprécié d’aller à l’école le samedi. » C’est en ces termes que l’apôtre-patriarche Schneider a pris congé des frères et sœurs de Ho (Ghana), où il a célébré un service divin dans l’auditorium de la Maluwi School le 26 mars dernier.