« Concevoir l’avenir de l’Église » est quelque chose qui peut être réalisé par ceux qui gagnent les jeunes chrétiens à participer aux activités de l’Église, nous dit l’apôtre-patriarche Schneider. Voici quelques réflexions au sujet des défis, des opportunités et d’une situation gagnant-gagnant.

Les restrictions dues à la pandémie du coronavirus sont malheureusement à l’ordre du jour, pratiquement dans le monde entier. Mais cela ne signifie pas que toutes les activités de l’Église ont cessé. Ces « perles de la communion » existent toujours.

Un apôtre qui ne fait pas que prêcher au sujet de la nouvelle devise annuelle, mais qui la met aussi en pratique sous forme graphique pour son Église – c’est possible dans le champ d’activité d’apôtre de district du Pacifique occidental. Des graphistes du monde entier ont créé les nouveaux logos annuels.

Bühl est une ville d’Allemagne occidentale, située près de la frontière avec la France. Pourtant, même si l’apôtre-patriarche y a célébré le service divin le 6 décembre 2020, sa parole était adressée à d’autres communautés.

En ces temps de restrictions et de confinement, les médias en ligne sont particulièrement bienvenus pour nous accompagner durant cette période. Ils proposent des informations de première main, des lectures, des expériences lors de services divins et des rencontres internationales.

« Nous portons le message du royaume de Dieu. La foi chrétienne a vocation à se communiquer », est-il écrit dans le « Catéchisme », et c’est ainsi que nous le pratiquons ; même par des services divins vidéotransmis le dimanche.

Le second semestre 2020 n’a connu que peu d’admissions à la retraite et d’ordinations dans le cercle des apôtres ; en raison des restrictions de voyage liées à la pandémie du coronavirus, les apôtres de district ont agi par mandat de l’apôtre-patriarche. Actuellement, 348 apôtres sont en activité dans le monde.

Qu’est-ce qui caractérise un bon enseignant ? Une bonne dose de patience, certainement beaucoup de compréhension à l’égard de ses élèves et beaucoup d’énergie. En ce qui concerne la foi, l’effet de modèle est essentiel : on se souviendra longtemps de celui qui vit à l’image de ce qu’il enseigne.

Le sens de la vie – le sujet numéro un depuis des générations : Comment commence la vie ? À quoi sert la vie ? Qu’y a-t-il après la mort ? – Voici un numéro de « community » qui jette un regard rétrospectif intéressé et qui regarde vers l’avenir avec espoir.

Ce furent des moments difficiles dans l’histoire de l’Église néo-apostolique : deux guerres mondiales, l’internationalisation, la consolidation, la séparation, une nouvelle orientation – un peu de tout, en fait. L’apôtre-patriarche Johann Gottfried Bischoff était comme un rocher dans la tempête. Il est né il y a 150 ans.

Tout est nouveau, avec le meilleur de l’ancien en supplément : à compter d’aujourd’hui, nak.org, le site web phare de l’Église néo-apostolique internationale se présente de façon complètement remaniée. Beaucoup de choses ont changé, non seulement en ce qui concerne l’apparence, mais également son contenu.

La liberté : Où ? Quand ? Comment ? L’apôtre-patriarche et les apôtres de district ont mis en lumière la devise de l’année, « Christ rend libre », sous tous ses aspects. Pour clôturer l’année, voici les points forts issus de la série « Pleins feux sur… ».

Witten, Rohmer, Simon – trois noms, trois histoires. Toutes traitent de ce que l’on peut faire grâce à la force de la foi, et de quelle manière cela peut aider les frères et sœurs en la foi : les gens en 2020.

Des portes d’églises fermées, des services divins sur YouTube, des masques de protection pour le nez et la bouche à l’autel : la pandémie a considérablement bouleversé la vie au sein de l’Église. Voici une rétrospective des événements de l’année 2020, marquée par le coronavirus.

Les communautés convient à un service divin en commun pour clôturer l'année – dans les églises et sous forme virtuelle. – « Dieu fortifie notre foi dans la tentation » est le thème qui sera abordé lors des prédications néo-apostoliques.

Bethléhem et Jérusalem sont séparées par un mur. On peut certes le traverser, mais seulement avec un passeport et des contrôles douaniers. Et, pour beaucoup, il est devenu le mur de la mort. Bethléhem est aujourd’hui un symbole d’agitation politique et d’erreurs humaines.

Noël n'est pas annulé. La naissance de Jésus n’est pas oubliée. Même si certaines choses sont différentes cette année : la reconnaissance et la joie au sujet de la naissance de Jésus constituent le véritable service divin de Noël.

Les donateurs de l’organisation caritative « human aktiv » donnent de manière plus ciblée. C’est ce qui ressort du rapport financier 2019, publié récemment par l’organisation de l’Église néo-apostolique d’Allemagne méridionale.