La crise liée au coronavirus a non seulement modifié la façon de célébrer les services divins, mais elle a aussi modifié la façon dont ils sont suivis. À propos de l’écoute active et de la manière dont cela fortifie la communion, à l’exemple des « images représentant la parole de Dieu ».

« Je pense à toi, tu n’es pas seul. » C’est ce que veulent exprimer les veillées religieuses. Et elles laissent en même temps un souvenir : « Penses-y, ne l’oublies pas ! » Ce sont des messages précieux, surtout en ces temps de coronavirus. Et la direction de l’Église souhaite les partager.

Il y a « immersion » et « immersion ». Et tous les baptêmes ne sont pas égaux. Parfois, ce sont de petits signes qui montrent les grandes nouveautés – ce que nous disent les lettres de la Bible au sujet du plus fondamental de tous les sacrements.

Nous avons un jour décidé de suivre Jésus. Puis, la vie est bouleversée malgré tout. Qui sait encore comment continuer dans ces conditions ? Voici la réponse issue d’un service divin de l’apôtre-patriarche qui nous indique le chemin à suivre.

Vivre, travailler et vivre sa vie de foi en Malaisie : c’est ce que relate l’évangéliste Loganathan Ramaurty Lawrence (51 ans), le conducteur de la communauté de Kuala Lumpur. Et il nous dévoile ce qui lui donne les forces pour son engagement.

Ces jours-ci, certains craignent pour leur santé ou leur existence. « Nous avons confiance en Dieu ! », recommande l’apôtre-patriarche. – Pourquoi et comment nous pouvons l’expérimenter concrètement. Voici quatre conseils et deux promesses issues du service divin des Rameaux.

La Pentecôte – à la maison avec l’apôtre-patriarche, ou dans sa propre communauté, peut-être même avec célébration de la sainte cène ? Tous peuvent participer à l’un, mais seuls quelques-uns peuvent participer à l’autre option. Le président de l’Église a donné une recommandation claire à ce sujet.

Qui montre Dieu tel qu’il est réellement ? Qui fait de la Bible et de la prédication une affaire toute personnelle ? L’apôtre-patriarche connaît quelqu’un qui le peut, et il cite aussi celui qui se met sans cesse en travers de son chemin.

Le baptême est aussi vieux que le Nouveau Testament. Il est à la fois un sujet de discorde et un élément de liaison parmi les chrétiens. Il est tantôt un rite d’entrée dans la vie chrétienne tantôt juste une fête privée. Mais, en fait, il est davantage que ce que l’on croit !

Ce n’est pas tout de proposer des services divins en ligne : que deviennent les services divins et la vie de communauté durant la crise liée au coronavirus ? Au niveau local, très lentement et prudemment. Telle est la réponse des responsables des Églises territoriales néo-apostoliques en Europe.

Peu importe la puissance du mal : il y en a toujours un capable de délivrer et même d’arracher le butin au plus grand fauve. Pourtant, même lui n’est pas tout seul à tout faire – comment Jésus-Christ compte sur chaque fidèle individuellement.

À Lusaka et au Cap, les machines de cuisson sont à l’arrêt, et, à Bielefeld, on remplit les entrepôts. – En période de pandémie, la production est tout sauf normale dans les trois grandes fabriques d’hosties de l’Église néo-apostolique.

Après la vidéotransmission mondiale de Pâques, nous retournons aux services divins en ligne proposés par les Églises territoriales. Voici le nouveau point de coordination central pour le champ d’activité du „Pacifique occidental » – et les liens actuels pour tous.

Qui est habilité à dispenser les sacrements ? Les confessions chrétiennes ont des réponses similaires à cette question – même si elles sont issues de directions différentes. La grande exception leur est également commune.

« Fêtons ensemble la fête de Pâques. » Tel est l’appel qu’a lancé l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider au cours du service divin central diffusé au niveau mondial, en démontrant pourquoi il y a de bonnes raisons de fêter, même en période de crise du coronavirus.

En temps normal, 60 000 communautés néo-apostoliques célèbrent des services divins le dimanche – mais c’était avant la crise liée au coronavirus. Au fil des semaines passées, l’offre a été réduite à deux douzaines de services divins centraux par vidéotransmission. À Pâques, il n’y aura qu’un seul service divin, célébré par l’apôtre-patriarche.

Le Pakistan est un pays où il est souvent difficile pour les chrétiens de confesser publiquement leur foi. C’est précisément dans ce pays que l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a prêché sur le thème de la Passion de Christ et sur le fait qu’il n’est pas toujours de suivre Jésus-Christ. Malgré tout, cela en vaut la peine.

Vaut-il mieux couper une belle fleur pour l’emmener à la maison ou l’arroser pour avoir le plaisir de l’admirer ? L’apôtre de district Enrique Minio, d’Argentine, nous répond à cette question.