« Je suis chrétien, ce que l’on peut déduire de mes histoires », dit l’homme dont les récits tournent autour de sorciers et de toutes sortes de créatures fabuleuses. Le rapport entre « Le Seigneur des anneaux » et Cie et le christianisme, à l’occasion d’un anniversaire très spécial.

Il y a des gens qui grandissent avec leurs tâches, et des tâches qui grandissent sous l'impulsion d'une personne. L'apôtre de district Hermann Dietrich Magney faisait partie de ces gens-là. Il est né, il y a de cela 150 ans, jour pour jour.

Un rayonnement au meilleur sens du terme : tous ceux qui l'ont rencontré personnellement ont été rapidement séduits par son charisme chaleureux et aimant - il y a 50 ans, Ernst Streckeisen prenait ses fonctions en tant qu'apôtre-patriarche.Ernst Streckeisen naît le 19 octobre 1905 à Saint- Gall (Suisse). Son père meurt lorsqu’il n’a que trois ans. Avec sa mère, Albertine, et son frère cadet, Karl, il traverse une période d’extrême pauvreté. Après un apprentissage commercial et après avoir fait ses classes, il survit grâce à de petits boulots, pour finalement trouver une place au sein de l’administration municipale.

Sensibilité, gentillesse, humilité : l’apôtre-patriarche Hans Urwyler était un homme aux qualités particulières. Le 20 février, il aurait eu 100 ans – voici la deuxième partie de la rétrospective reconnaissante.

Sa foi, sa clairvoyance et son humilité ont fait de lui une personnalité marquante de l’histoire néo-apostolique : l’apôtre-patriarche Hans Urwyler aurait eu 100 ans le 20 février – rétrospective reconnaissante.

Leurs noms étaient Hélène, Johanna, Simon, etc. : ce que des chrétiens néo-apostoliques d’origine juive de Stuttgart (Allemagne) ont vécu et souffert – voici une contribution à la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste du 27 janvier.

Il incarnait la figure paternelle du mouvement qui en était encore à ses débuts : Friedrich Krebs est mort, il y a de cela 120 ans jour pour jour. Même s’il est considéré comme ayant été le premier apôtre-patriarche de l’Église néo-apostolique, cette dénomination ministérielle n’est entrée en usage qu’ultérieurement.

Il n’était pas vraiment typique de sa région d’origine : ni sans humour, ni obstiné, ni même arrogant. Hermann Engelauf était un homme joyeux, aimable et tourné vers les autres. Il aurait eu 100 ans le 19 décembre.

Il a été apôtre-patriarche pendant six ans, sans être apôtre-patriarche : le 14 décembre, il y a 100 ans, Johann Gottfried Bischoff a été ordonné dans le ministère qu’il n’exercera que plus tard – en voici le contexte.

La Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage, le 2 décembre, rend hommage aux millions de victimes du commerce des esclaves. Une récente visite au fort de Cape Coast, au Ghana, montre : la liberté reste une mission – hier, aujourd’hui et demain.

Avec trois autres hommes, il s’est présenté à l’autel en 1986 pour assumer une tâche particulière : ils ont été les premiers apôtres de district adjoints de l’histoire néo-apostolique. Aujourd’hui, John W. Fendt Sr. aurait eu 100 ans.

Le disque sur lequel l’apôtre-patriarche Hans Urwyler a prononcé une préface s’intitule : « Un lien d’amour tout autour de la terre » (Ein Liebesbund ums Erdenrund, titre original, NdT). Cela contient aussi une pensée souvent citée par la suite, qui est toujours valable aujourd’hui – voici un rappel à l’occasion du 30eanniversaire de sa mort, le 17 novembre.

C’est précisément l’Église qui l’avait rejeté qui lui a offert sa dernière demeure et lui a érigé un monument : un précurseur de l’apostolat moderne repose à Glasgow, la ville que l’apôtre-patriarche visitera ce week-end.

Comment cela s’est-il passé à l’époque, quand il n’y avait pas d’apôtres vivants ? Là aussi, l’Église était encore apostolique. De quelle manière ? C’est ce qu’explique la quatrième partie de la table ronde des JIJ 2019.

Le 14 juillet est un peu la fête apostolique. Mais son histoire réserve des surprises. En sa mémoire, l'Église néo-apostolique met cette année des accents tout particuliers.