Les apôtres ont voulu le savoir : Comment les jeunes chrétiens néo-apostoliques souhaitent-ils que soit leur Église ? Des réponses ont été données lors de l’échange modéré d’avis et d’expériences lors des Journées Internationales de la Jeunesse 2019.

Son plus grand souhait semblait inaccessible, mais Ashley-Ann a trouvé de l’aide de façon inattendue : comment la jeune Sud-Africaine handicapée est arrivée aux Journées internationales de la Jeunesse avec le soutien de motards allemands.

La forme suit le contenu : Lorsque l’hostie tamponnée évince la coupe de vin, lors de la sainte cène, un changement se met également en marche en ce qui concerne la forme des calices sur l’autel – jusqu’à obtenir une combinaison bien particulière.

Quatorze ans en tant qu’apôtre de district ‒ dans une interview, Charles Ndandula, l’apôtre de district sortant de la Zambie, du Malawi et du Zimbabwe dresse le bilan avec reconnaissance.

Reconnaître et remédier à la détresse du prochain, prier et faire de la musique ensemble et honorer Dieu – tel est le programme hebdomadaire de nombreux chrétiens. C’est pour cette raison qu’ils se mettent en route pour faire bouger les choses.

Les idées créatives ont besoin de place, car elles doivent grandir. Ce n’est pas toujours facile, et, parfois, c’est un travail de longue haleine. Mais à la fin, il y a la joie d’avoir obtenu quelque chose de bien. Voici trois propositions :

Devant l’église néo-apostolique de Besigheim (Allemagne méridionale), un « Stolperstein » rappelle la mémoire de Frida Dippon. Elle était l’épouse de l’ancien conducteur de la communauté et a été assassinée en 1940 dans le cadre du programme d’euthanasie mis en place par les nazis.

Le voyage a débuté à la ligne de changement de date : les Samoa et les Samoa américaines sont situées à 24 heures d’intervalle, mais dans le même archipel. De là, le voyage s’est poursuivi vers les îles Fidji.

Depuis sa création en 1997, la fondation « Stichting Corantijn », l’organisation caritative de l’Église néo-apostolique des Pays-Bas, apporte une aide caritative au Suriname. Depuis quelques années, elle bénéficie du soutien de l’organisation d’aide humanitaire de l’Église, « NAK-karitativ ».

Entretenir la communion fraternelle avec les frères et sœurs, tantôt en plein air, assis en cercle, tantôt lors d’un service divin. La visite du primat de l’Église a suscité beaucoup de joie.v

Les jeunes sont le présent et l’avenir de l’Église. Cela apparaît tout particulièrement lorsque les jeunes deviennent actifs et que les dimanches prennent brusquement un autre visage. En voici un aperçu avec des exemples issus de trois pays différents.

Tous les dons n’ont pas forcément besoin d’un ministère pour se développer. Et toutes les tâches ne nécessitent pas forcément d’avoir un ministère pour les aborder. Tout dépend toujours du service correspondant, et il existe des différences considérables.

Diriger de manière collégiale et décider ensemble : tout un programme au sein de l’Église néo-apostolique. Et cela ne se passe pas seulement ainsi au sein de l’assemblée internationale des apôtres de district, mais également au sein des commissions des Églises territoriales.

Deux services divins le même jour, au même moment, en deux endroits différents : l’apôtre-patriarche n’a pas besoin de se dédoubler pour cela, il lui suffit de voyager en arrière dans le temps. C’est quelque chose de tout à fait normal … pour les frères du ministère du Pacifique Sud.

Beaucoup de choses dans la vie nécessitent du temps. Par exemple, on ne peut pas prévoir de nouvelles idées en une nuit. Les nouvelles constructions d’églises nécessitent également du temps. Voici un extrait des activités qui se sont déroulées dans le monde.

La foi dans la vie quotidienne est comme une veine d’or dans une mine : il faut déblayer un certain nombre de gravats pour pouvoir mettre au jour les richesses. L’apôtre de district Peter Schulte (Pacifique occidental) explique pourquoi cela vaut la peine de creuser.

Un chant connu de notre recueil de cantiques dit : « Être à ton saint service, en tes mains, l’instrument… », décrivant ainsi ce que le chrétien peut faire pour soi-même et pour autrui, même sans mandat ministériel.

Même après le changement de raison – « Missionswerk » est devenu « human aktiv » - les donateurs sont restés fidèles comme le montre le premier rapport financier de la jeune organisation à longue tradition.