Witten, Rohmer, Simon – trois noms, trois histoires. Toutes traitent de ce que l’on peut faire grâce à la force de la foi, et de quelle manière cela peut aider les frères et sœurs en la foi : les gens en 2020.

Les donateurs de l’organisation caritative « human aktiv » donnent de manière plus ciblée. C’est ce qui ressort du rapport financier 2019, publié récemment par l’organisation de l’Église néo-apostolique d’Allemagne méridionale.

L’Église néo-apostolique poursuit son processus de concentration : en 2022, les champs d’activité d’apôtre de district d’Allemagne nord-orientale et de Berlin/Brandebourg (Alle-magne) fusionneront. Cela a été annoncé hier par l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider.

Davantage de dons, davantage de soutien aux projets : telle est la formule qui résume l’année 2019 pour l’organisation caritative « NAK-karitativ ». Le rapport annuel récemment publié montre clairement à quel point cela était – et reste - nécessaire.

La vie est variée : les crises et l’euphorie alternent, et il est difficile de se réjouir avec le coronavirus. Toutefois, il y a toujours ces belles petites histoires qui encouragent et indiquent un avenir meilleur. En voici un aperçu.

Dans la prédication, il était question de pleurs, mais la situation était tout sauf triste ! Au contraire : ceux qui pleurent doivent être consolés. Tel était aussi le message de l’apôtre-patriarche au cours du service divin qu’il a célébré à Strasbourg (France) le 15 novembre 2020.

La vie est changeante : des doutes, des soucis puis à nouveau une foi forte et de la joie. Nous pouvons néanmoins compter durablement sur une chose, nous dit l’apôtre-patriarche Schneider.

La Covid-19 a une influence sur le déroulement liturgique au cours du service divin. Là où des chorales chantaient autrefois, les voix doivent désormais se taire. Ce qui reste, c’est la recherche de solutions créatives.

Esther Kompare est la nouvelle présidente de l’Église néo-apostolique en Slovénie. Pour la première fois, c’est une femme qui assume cette responsabilité dans ce pays.

Bien sûr, les Églises reconnaissent les baptêmes les unes des autres, même si cela a pris plusieurs siècles. Car la question des sacrements est étroitement liée à chaque conception de l’Église. Et elles ont néanmoins réussi à adopter des documents solides.

En dépit du coronavirus, nous avons prévu une nouvelle série d’affiches pour les tableaux d’affichage à l’entrée des églises. Néanmoins, contrairement aux dernières années, il n’y a pas eu de séance photo cette fois-ci.

Au cours du premier semestre 2020, l’apôtre-patriarche Schneider a ordonné trois apôtres, il a admis deux apôtres ayant atteint la limite d’âge à la retraite, et un apôtre est décédé au cours de son exercice ministériel.

Il n’est pas rare qu’il y ait un retour de pendule. Cela fait également partie de l’histoire de l’apôtre-patriarche Johann Gottfried Bischoff, décédé le 6 juillet il y a 60 ans – à la consternation de nombreux frères et sœurs.

La crise liée au coronavirus ? Pour de nombreuses personnes, ce n’est qu’une situation difficile de plus qu’ils doivent surmonter. Pour eux, cela fait longtemps qu’il y va de leur existence ! – Voici un aperçu de ce qu’accomplissent les organisations néo-apostoliques ensemble pour soulager le pire.

Les circonstances sont inhabituelles, mais les premiers services divins en présentiel après le confinement dû au coronavirus procurent de la joie : le revoir dans les communautés et enfin à nouveau la sainte cène. L’apôtre-patriarche le relate également.

C’est le sacrement fondamental : le baptême fait de l’homme un chrétien. Mais comment faut-il le célébrer ? Jésus n’a presque rien dit à ce sujet. Il n’est même pas clairement établi s’il a lui-même baptisé. Voici une recherche de traces en bonne et due forme.

La crise liée au coronavirus a non seulement modifié la façon de célébrer les services divins, mais elle a aussi modifié la façon dont ils sont suivis. À propos de l’écoute active et de la manière dont cela fortifie la communion, à l’exemple des « images représentant la parole de Dieu ».

La Pentecôte – à la maison avec l’apôtre-patriarche, ou dans sa propre communauté, peut-être même avec célébration de la sainte cène ? Tous peuvent participer à l’un, mais seuls quelques-uns peuvent participer à l’autre option. Le président de l’Église a donné une recommandation claire à ce sujet.