La reconnaissance est une caractéristique noble de l’homme : Nous remercions pour un cadeau inattendu, pour une bonne santé, pour une aide reçue ou pour un souvenir bienvenu. « L’été éternel règne dans un cœur reconnaissant », écrivait la poète Celia Thaxter.

C’est sur la base de ces paroles connues du Notre Père que l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a prêché à Livingstone (Zambie). Le 29 avril 2018, l’Église néo-apostolique y a célébré ses 90 ans d’existence.

Cinq demandes de plus que celles contenus dans le Notre Père et une promesse que Dieu entend véritablement ces demandes – l’apôtre-patriarche Schneider prêche au sujet des souhaits actuels et louables des croyants.

Christ avant l’Église, l’Évangile avant les règles, le salut de l’âme avant la tradition : la première partie de l’interview avec l’apôtre-patriarche relative à la stratégie offre d’ores et déjà des pistes d’orientation. Dans un premier temps, celle-ci traitera du point suivant : Questions relatives à la perception de soi.

Emporter davantage du service divin, c’est ce qu’enseigne un service divin biblique de petit format : la rencontre des disciples d’Emmaüs avec Jésus le Ressuscité. Ce que ce modèle peut encore apporter aux croyants aujourd’hui : voici un service divin au sujet d’un service divin.

L’heureux message procure de la joie lorsqu’il est prêché de manière compréhensible et qu’il touche le cœur. Les services divins du mois de juin incitent à réfléchir à la joie et à expérimenter la joie.

Jésus libère ! – Comment cela, il libère ? De qui, de quoi ? Il y a belle lurette que nous sommes libres de faire ce que nous voulons. C’est ce que pensent sans doute beaucoup de gens, mais ils se trompent, parce qu’il n’y en a qu’un qui propose la vraie liberté.

À l’Université, dans une zone de guerre et à l’église : la vie chrétienne trouve partout sa place. Parfois, ce sont les mots qui sont déterminants, une autre fois, c’est une main secourable. Petit aperçu hebdomadaire sur trois continents.

« Donnons à notre prochain un avant-goût du royaume de Dieu » : tel est le message adressé, en cette Pentecôte 2018, par l’apôtre-patriarche aux fidèles de l’Église néo-apostolique dans le monde entier. Que veut-il dire par là ?

Marie a vu le jardinier, les disciples d’Emmaüs ont vu un étranger. Mais ils l’ont reconnu à ses paroles et ses œuvres : Jésus et vivant ! Il est là et continue d’agir. C’est encore valable aujourd’hui. Il y a des témoins de cela. Mais qui sont-ils ?

Reconstruire fidèlement l’Église primitive afin de pouvoir achever l’Œuvre en tant qu’Église des derniers temps. Tel était l’objectif des communautés apostoliques-catholiques et aussi de l’Église néo-apostolique en devenir. Cependant : est-ce vraiment possible de cette manière ?

Professer sa foi peut devenir un défi pour sa survie. C’est ce que vit Mankee Nag. Dans une interview, la jeune Indienne âgée de 27 ans nous donne un aperçu honnête de son quotidien, entre lutte pour la survie et joie dans la foi.

Banni de la table du Seigneur, exclu du repas de communion : cela a existé jusqu’au milieu des années 1980. C’est là qu’est arrivé l’apôtre-patriarche Hans Urwyler. Il a été admis à la retraite il y a 30 ans : petite rétrospective de son activité.

L’un s’en va, l’autre arrive. Ainsi va la vie. Au mois de novembre, l’apôtre de district Urs Hebeisen, de l’Asie du Sud-Est, prendra sa retraite. Des changements organisationnels y sont associés.

Se lever, s’habiller, partir : telle est la formule pour sortir de captivité. Est-ce vraiment aussi facile ? Oui, si l’on croit aux forces que Dieu nous accorde. Voici un guide issu d’un service divin de l’apôtre-patriarche.

Le frère du ministère est élu, appelé et habilité par Dieu. Sa mission toute personnelle est de s’orienter d’après Jésus-Christ. Voici quelques pensées issues d’une prédication sur le thème des pleins pouvoirs et des risques de trébuchement au cours de l’exercice ministériel.

Reconnaître la vérité en toute clarté, ce n’est possible que momentanément aussi dans le domaine de la foi. Ensuite, on redescend de ces sommets vers les vallées du quotidien. Voici quelques pistes pour garder le cap vers la gloire.

Beaucoup le surnomment Charlemagne, dans un hommage chaleureux : il y a 25 ans aujourd’hui décédait l’un des apôtres de district les plus influents. Il n’a pas seulement laissé à l’Église néo-apostolique une image de soi historique en héritage, mais aussi certaines spécificités culturelles.