L’assemblée des apôtres de district se réunit pour la première fois après le communiqué officiel concernant la conception du ministère. Toutefois, le travail effectué sur les questions non éclaircies n’est de loin pas le seul thème passionnant.

L’Église territoriale de Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne) compte 30 districts, et celui d’Essen est celui qui totalise le plus de membres. Il englobe onze communautés pour un total de 3400 chrétiens néo-apostoliques. L’apôtre-patriarche y est attendu dimanche prochain.

Les serviteurs de Dieu ne sont de loin pas uniquement les frères du ministère. C’est ce qu’a mis en évidence l’apôtre-patriarche lors d’un service divin retransmis dans toute l’Europe. Au centre de celui-ci se trouvait la question suivante : Servir – qui, comment et pourquoi ?

Le voyage de l’apôtre de district Charles S. Ndandula a duré six jours. Durant ce séjour, il a célébré six services divins et a inauguré cinq églises. – En Afrique, les communautés sont vivantes, mais celles-ci existent également sur tous les autres continents.

La communauté, dans laquelle tu as passé toute ta vie de foi, va fermer ses portes ? « C’est une souffrance ! », laisse éclater Jean-Luc Schneider. Car cette expérience ne s’arrête pas non plus à l’apôtre-patriarche : Comment gère-t-il cette situation ?

« Ma communauté dans une boîte à chaussures » – c’est avec cette opération que le Rassemblement religieux international (Kirchentag) avait tissé des liens partenaires entre les communautés. Et, parfois, il en résulte aussi un lien pour la vie, comme le démontre l’histoire de Jolanthe et Tobias.

Être en communion avec Jésus – pas seulement au ciel, mais aussi sur la terre. Deux services divins à la suite apportent des précisions sur l’avenir et le présent. Regardons en détail la promesse divine et la mission pour le croyant.

Jésus est parti nous préparer une place. Première surprise : Ce lieu est achevé depuis longtemps. Seconde surprise : Les hommes y sont déjà allés. La question que l’on se pose est la suivante : Comment faire pour retourner à la maison ?

Cette fois, l’apôtre-patriarche ne fera qu’un aller-retour de Zurich à Raipur, en seulement deux jours. Malgré cela, l’invité et ses hôtes sont dans la joie, car, premièrement, l’Inde vaut toujours le voyage, et, deuxièmement, l’apôtre-patriarche y est tout-à-fait bienvenu.

Le drapeau à l’entrée du siège international de l’Église à Zurich est hissé – un signe pour montrer que des invités bienvenus sont présents dans ses murs. En effet, les apôtres de district européens se réunissent à l’occasion de leur session d’automne.

Il est entré en position couchée par le toit pour sortir debout par la porte. Or, ce n’était pas sa foi qui l’a aidé : la guérison du paralytique et la lumière que jette cet événement sur le service divin en faveur des défunts.

Agir pour l’environnement – agir pour les jeunes – agir pour les réfugiés des guerres civiles harcelés : les défis de l’Église au niveau mondial sont énormes. En voici un aperçu.

Faut-il donc toujours être reconnaissant ? Qu’est-ce donc que cette exigence ? « C’est irréaliste », déclare l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider. Et d’expliquer comment il faut réellement le comprendre. Voici quelques pensées clé issues d’un service divin.

Mais pourquoi Jésus a-t-il donc dû souffrir ? Il était tout de même le Fils de Dieu. La question est légitime et la réponse est claire : à cause de nous, les hommes ! Et pourquoi devons-nous souffrir, nous, les hommes ?

Le terme « frères et sœurs en la foi » le dit : ils avancent ensemble vers le but, à travers les joies et les peines. Voici quelques actualités tristes et heureuses issues de la vie néo-apostolique tout autour du globe.

Dieu donne – en abondance. Or, nous ne le ressentons pas toujours ainsi. Un service divin célébré par l’apôtre-patriarche ouvre notre regard : Dieu donne plus qu’assez pour en faire ce qu’il y a de mieux. La communauté qui accueillait l’apôtre-patriarche l’a prouvé.

En mastiquant suffisamment longtemps, chaque aliment finit par avoir un goût plutôt doux. C’est ce que déclare la science, mais également la Bible. Dans certains passages, l’Évangile est doux comme une tartine au miel, et dans d’autres, il est plutôt amer. Voici quelques tests de goût avec l’apôtre-patriarche.

Tirer des leçons d’un rêveur anxieux ? Une histoire datant du 18e siècle avant Jésus-Christ donne des impulsions, pour la rencontre avec Dieu et l’attitude à adopter lors du service divin.