Les organisations d’aide humanitaire luttent contre la misère et la souffrance à travers le monde. Le coronavirus rend ce combat encore plus difficile. Voici quelques aperçus de la vie des bénévoles, qui surmontent de tout nouveaux défis.

Elle était bien davantage qu’un personnage secondaire anonyme dans la Bible – Marie, la prophétesse dansante, est perçue jusqu’à aujourd’hui de manière positive et comme étant une femme importante dans la tradition juive. Et ce, bien qu’elle vivait en son temps dans un monde d’hommes.

En raison du coronavirus, les participants n’étaient « que » 180, une image plutôt inhabituelle dans la grande église de Karlsruhe. Et l’apôtre-patriarche a trouvé le ton parfait pour consoler et fortifier la communauté en ces temps difficiles.

Les thèmes des services divins du mois de juillet sont pleins de contrastes : de la grâce aimante à la loi stricte, du jour de fête sanctifié à l’interdiction de tuer.

Réception, purification, renouvellement total : la Bible connaît de nombreuses interprétations du baptême. La signification concrète du sacrement pour les hommes a changé au fil de l’histoire du monde – souvent une question de politique et de société.

Ce que les réfugiés ont besoin en urgence, outre de quoi manger et boire, des soins médicaux et un toit sur la tête, c’est l’espérance ! Et la perspective d’une patrie, d’amis et d’un sentiment de sécurité. Malheureusement, la réalité est très différente pour beaucoup d’entre eux. Voici un appel à la réflexion.

Pentecôte 2020 : l’apôtre-patriarche Schneider prêche au sujet de la puissance du Saint-Esprit, qui fait en sorte que les hommes de différentes cultures et traditions puissent se retrouver. Un commandement aussi pour les chrétiens d’aujourd’hui.

La pastorale peut apporter beaucoup de choses au prochain. Jésus-Christ démontre que la pastorale fait du bien, change et peut parfois aussi laisser l’entourage sans voix.

Vivre, travailler et vivre sa vie de foi en Malaisie : c’est ce que relate l’évangéliste Loganathan Ramaurty Lawrence (51 ans), le conducteur de la communauté de Kuala Lumpur. Et il nous dévoile ce qui lui donne les forces pour son engagement.

Après le confinement apparaissent les premiers assouplissements. L’Église élabore de nouveaux concepts. – Dès maintenant, une chose est sûre : les services divins par vidéotransmission resteront en place jusqu’à ce que les services divins en présentiel puissent à nouveau avoir lieu de manière habituelle. Et voici l’aperçu actuel.

Se préoccuper de son prochain, cela ne fonctionne que si l’on se focalise sur l’essentiel. Comment y parvenir ? Jésus-Christ a montré l’exemple : sa pastorale en sept approches.

Les familles qui soignent un proche handicapé ou un enfant gravement malade n’ont pas toujours une vie facile. Parmi les charges qu’ils endurent, il n’y a pas seulement les soins intensifs, mais aussi les restrictions de la vie sociétale. L’organisation caritative l’a compris et souhaite leur apporter son aide.

Ce n’est pas tout de proposer des services divins en ligne : que deviennent les services divins et la vie de communauté durant la crise liée au coronavirus ? Au niveau local, très lentement et prudemment. Telle est la réponse des responsables des Églises territoriales néo-apostoliques en Europe.

Le Pakistan est un pays où il est souvent difficile pour les chrétiens de confesser publiquement leur foi. C’est précisément dans ce pays que l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a prêché sur le thème de la Passion de Christ et sur le fait qu’il n’est pas toujours de suivre Jésus-Christ. Malgré tout, cela en vaut la peine.

Il y avait un rêveur – il y a 60 ans de cela. Il était noir, et il est mort à cause de sa couleur de peau. Son nom : Dr. Martin Luther King. Son rêve était l’égalité entre les hommes. Et c’est toujours un rêve.

Trois idées de la liberté, mais une seule conduit au but. Laquelle, et comment ? C’est ce qu’a expliqué l’apôtre-patriarche lors d’un service divin de jeunesse, où il était plutôt question de la vie concret au quotidien que de théorie théologique.

À la question de savoir ce qu’il veut devenir plus tard, l’enfant, âgé de six ans, répond : « Soldat ». Mais pourquoi cela ?!? « Parce que je pourrai tuer des gens ! » – Des paroles dites très sérieusement. C’est ce que rappelle cette journée commémorative du « Red Hand Day ».

Le combat pour la liberté est avant tout un combat intérieur, décrit l’apôtre de district Jürg Zbinden (Suisse). Il convient de placer sa propre volonté sous la volonté de Dieu.