Les sacrements peuvent aussi venir en aide aux défunts. La foi néo-apostolique n’est pas la seule à le proclamer. L’Église catholique et la chrétienté orthodoxe l’enseignent également – jetons un regard au-delà de notre Église.

Cela ressemble à ce qui se passe habituellement : les apôtres dispensent les sacrements – cette fois à deux ministres désignés –, la communauté est debout et prie en silence dans une prière commune. Pourtant, cet instant est hautement solennel et touche les croyants depuis de nombreuses générations.

Les choses ont commencé de manière turbulente. Mais pas à pas, l’Église néo-apostolique a mis de l’ordre dans ses sacrements pour les défunts. Et après la pratique, c’est au tour de la théorie – l’histoire en bref.

Les défunts peuvent-ils encore obtenir le salut ? La question est aussi vieille que le christianisme. La réponse de l’Église néo-apostolique n’est pas si nouvelle, et pourtant, elle est inhabituelle : Comment se sont développés les sacrements pour les défunts ?

Le baptême vicaire : une référence biblique pour l’univers des défunts. Et c’est une conférence épiscopale qui l’aurait interdit. Tel est le récit usuel. Ce n’est pourtant pas tout à fait exact – exposition de la décision et de son contexte.

Un verset biblique donne du fil à retordre aux interprètes, et ce depuis 1800 ans. Ce passage est précisément le troisième point de départ pour l’univers des défunts tel que le considère l’Église néo-apostolique. En fin de compte, il s’agit de la puissance d’un sacrement.

Dieu veut aider tous les hommes, les vivants et les morts. Cette conviction se retrouve déjà chez les premiers chrétiens. C’est ce dont témoigne le motif biblique de la descente de Christ dans « les régions inférieures de la terre » – un autre point de repère pour l’univers néo-apostolique des défunts.

L’amitié se cultive, surtout lorsqu’elle traverse l’Atlantique. C’est ainsi que l’orchestre symphonique des jeunes d’Argentine a reçu ce jour-là la visite surprise d’un Suisse qui ne leur était pas totalement inconnu.

Le mois prochain offre deux repères dans le calendrier liturgique : l’un est bien connu, et l’autre mérite qu’on y prête plus d’attention – voici l’aperçu des services divins dominicaux du mois de juin 2022, mais pas seulement.

Trois piliers soutiennent la conception de l’Église néo-apostolique de l’univers des défunts. Le premier est la réponse à la question : Que veut Dieu ? – La Bible a beaucoup de choses à dire à ce sujet, notamment : que tous les hommes soient sauvés.

Comment pouvons-nous être proches de quelqu’un sans être près de lui ? Ouvrir de nouveaux horizons pour la devise annuelle « Ensemble en Christ » – voici quelques réflexions de l’apôtre de district John Kriel (Afrique du Sud).

Des sacrements pour les défunts ? Cela n’a de sens que si les gens peuvent encore changer dans la mort. Si l’on se réfère à la doctrine de leur Église, la majorité des chrétiens croit à une chance dans l’au-delà. Il existe néanmoins de grandes différences.

Des sacrements pour les défunts ? Ce serait impensable sans l’immortalité de l’âme. Pourtant, il n’y a que des approches de cette idée dans la Bible – explications sur la genèse de la compréhension actuelle de la vie après la mort.

Les morts ne sont pas du tout morts. En tout cas pas pour Dieu. Pour Dieu, il n’existe pas de limite entre la vie terrestre et la vie éternelle. C’est ce que croient les chrétiens, et c’est ce que rapporte la Bible. Voici un aperçu de l’action sacramentelle pour les défunts.

Jésus, le bon berger, différents troupeaux dans différentes bergeries et la recherche de la brebis perdue : l’apôtre-patriarche a récemment développé cette image biblique bien connue de façon surprenante.

Heureusement que la foi ne peut être prouvée mathématiquement. C’est du moins l’avis de l’apôtre-patriarche e.r. Wilhelm Leber. Et il s’y connaît – voici une interview du docteur en mathématiques à l’occasion de la Journée internationale des mathématiques, le 14 mars.

La mort est le scandale de la vie ! Elle est parfois soudaine, parfois attendue, parfois souhaitée – et, la plupart du temps, elle ne connaît pas d’agenda. Ceux qui restent souffrent du vide qui se crée.

Dieu crée de nouvelles choses. Et cela place les croyants face à certaines questions : Qu’est-ce qui est plus important ? Ce que l’on a entendu ou même prêché durant tant d’années ? Ou ce qui nous rapproche maintenant de Christ ? – Décryptage d’un service divin traitant de la vision, de la compréhension et de l’acceptation.