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Les questions ont reçu des réponses, mission accomplie
05 02 2024
Auteur: Andreas Rother
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Download audioDownloaded:0 les objectifs fixés ont été atteints: l’église néo-apostolique a réorganisé ses compétences en matière d’œcuménisme. au lieu d’un groupe suprarégional, il existe désormais un interlocuteur pour les acteurs régionaux. « le groupe de travail de longue date contacts interconfessionnels et interreligieux a rempli son mandat », explique l’église néo-apostolique internationale (énai) sur son site principal : « afin d’accorder à l’avenir une attention appropriée à ce thème, une unité pour les questions œcuméniques a été créée. ». contact et conseil. ce centre de coordination international servira de contact aux autres confessions et religions. les autres tâches de cette unité consistent à conseiller la direction internationale de l’église et à soutenir les interlocuteurs régionaux. ce poste sera occupé jusqu’à nouvel ordre par l’évêque peter johanning et son représentant, l’apôtre arne herrmann. tous deux représentent déjà l’église néo-apostolique au sein de la communauté de travail des églises chrétiennes (ctec) d’allemagne. active depuis 1999. des discussions régulières entre l’église néo-apostolique et la ctec ont eu lieu depuis 2001 au niveau régional et depuis 2008 au niveau national. le coup d’envoi avait été donné par l’apôtre-patriarche richard fehr lorsqu’il avait créé le groupe de projet œcuménisme en 1999. pendant environ 25 ans, ce comité, rebaptisé par la suite, a été actif sur mandat de la direction de l’église. sa mission consistait à élucider les questions fondamentales: quelle est la stratégie poursuivie par l’église internationale en matière d’œcuménisme? des participations en tant que membre sont-elles possibles dans les différents ctec? quelles sont les opportunités, quelles sont les limites? ensemble pour l’évangile. ces questions ont reçu une réponse depuis longtemps. aujourd’hui, l’église néo-apostolique compte parmi les églises engagées dans l’œcuménisme, surtout en europe, mais aussi dans d’autres pays du monde. aux pays-bas, au luxembourg, en suisse, en autriche et en allemagne, il existe ainsi des adhésions aux ctec à tous les niveaux. aujourd’hui, les différentes églises territoriales assument elles-mêmes ces tâches. toutes les églises territoriales européennes ont désormais leurs propres responsables œcuméniques, qui s’efforcent en particulier d’agir de manière concertée au niveau local et régional. « nous sommes conscients du fait que nous sommes tous chrétiens », déclarait déjà l’apôtre-patriarche jean-luc schneider dans une interview en 2013 pour expliquer ce qui lui importe dans l’œcuménisme. « nous devons lutter ensemble pour l’évangile, la voix de l’évangile doit aussi se faire entendre dans la société actuelle, et c’est pour cela et à cela que nous travaillons ensemble. ».
Les objectifs fixés ont été atteints : l’Église néo-apostolique a réorganisé ses compétences en matière d’œcuménisme. Au lieu d’un groupe suprarégional, il existe désormais un interlocuteur pour les acteurs régionaux.
« Le groupe de travail de longue date Contacts interconfessionnels et interreligieux a rempli son mandat », explique l’Église néo-apostolique internationale (ÉNAI) sur son site principal : « Afin d’accorder à l’avenir une attention appropriée à ce thème, une unité pour les questions œcuméniques a été créée. »
Contact et conseil
Ce centre de coordination international servira de contact aux autres confessions et religions. Les autres tâches de cette unité consistent à conseiller la direction internationale de l’Église et à soutenir les interlocuteurs régionaux.
Ce poste sera occupé jusqu’à nouvel ordre par l’évêque Peter Johanning et son représentant, l’apôtre Arne Herrmann. Tous deux représentent déjà l’Église néo-apostolique au sein de la Communauté de travail des Églises chrétiennes (CTEC) d’Allemagne.
Active depuis 1999
Des discussions régulières entre l’Église néo-apostolique et la CTEC ont eu lieu depuis 2001 au niveau régional et depuis 2008 au niveau national. Le coup d’envoi avait été donné par l’apôtre-patriarche Richard Fehr lorsqu’il avait créé le groupe de projet Œcuménisme en 1999.
Pendant environ 25 ans, ce comité, rebaptisé par la suite, a été actif sur mandat de la direction de l’Église. Sa mission consistait à élucider les questions fondamentales : Quelle est la stratégie poursuivie par l’Église internationale en matière d’œcuménisme ? Des participations en tant que membre sont-elles possibles dans les différents CTEC ? Quelles sont les opportunités, quelles sont les limites ?
Ensemble pour l’Évangile
Ces questions ont reçu une réponse depuis longtemps. Aujourd’hui, l’Église néo-apostolique compte parmi les Églises engagées dans l’œcuménisme, surtout en Europe, mais aussi dans d’autres pays du monde. Aux Pays-Bas, au Luxembourg, en Suisse, en Autriche et en Allemagne, il existe ainsi des adhésions aux CTEC à tous les niveaux.
Aujourd’hui, les différentes Églises territoriales assument elles-mêmes ces tâches. Toutes les Églises territoriales européennes ont désormais leurs propres responsables œcuméniques, qui s’efforcent en particulier d’agir de manière concertée au niveau local et régional.
« Nous sommes conscients du fait que nous sommes tous chrétiens », déclarait déjà l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider dans une interview en 2013 pour expliquer ce qui lui importe dans l’œcuménisme. « Nous devons lutter ensemble pour l’Évangile, la voix de l’Évangile doit aussi se faire entendre dans la société actuelle, et c’est pour cela et à cela que nous travaillons ensemble. »