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Download audioDownloaded:0 ce n’est pas par sa souffrance que jésus-christ peut racheter les hommes, mais par son obéissance. c’est ce que l’apôtre-patriarche a mis en lumière lors d’un récent service divin. et il a également expliqué comment chacun peut y participer. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. photo: frank schuldt. « pour adam et eve, leur personne, leur ego, était plus important que leur relation à dieu, c’était là l’erreur ». c’est ainsi que l’apôtre-patriarche jean-luc schneider a expliqué la rupture décisive. « dieu est un dieu de communion, les trois ne font qu’un », s’est exprimé le responsable de l’église le 7 avril 2023 à nordhorn. « quand la bible dit que les hommes ont été créés à l’image de dieu, cela signifie qu’ils doivent avoir cette communion – avec dieu et entre eux. ». mais en mangeant de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, les hommes ont montré: « nous devenons autonomes, nous voulons décider nous-mêmes de ce qui est bien et de ce qui est mal. ils s’étaient ainsi exclus eux-mêmes de la communion avec dieu. ce n’était pas une punition de dieu, c’était une conséquence directe de leur décision. ». plus important que sa propre personne. mais ensuite: « il » – jésus-christ – « s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. ». telle était la parole biblique utilisée au cours du service divin, tirée de philippiens 2: 8. et cela contrecarre doublement l’égoïsme d’adam et eve. d’une part: « le fils de dieu est venu sur terre pour montrer aux hommes: même si tu m’as quitté, je ne te quitterai pas. tu t’es éloigné de moi, mais je viens à toi. et puisque tu dois souffrir, je souffrirai aussi. parce que tu dois mourir, je mourrai aussi. je suis avec toi! » ainsi, dieu a mis en évidence: « la relation avec l’homme est plus importante pour moi que ma personne, que ma gloire. ». d’autre part: « en tant qu’homme, jésus a été en communion avec dieu. celle-ci était plus importante pour lui que sa propre personne: la volonté du père est ma volonté. il veut sauver les hommes, et moi aussi. là où adam a fait un mauvais choix, je veux faire le bon choix, et ainsi je pourrai briser le pouvoir du mal. ». pas de souffrance mais l’obéissance. par son sacrifice, jésus-christ a sauvé les hommes. cependant: « à quoi tient l’efficacité de son sacrifice? elle n’est pas dans la douleur, ni dans la souffrance ou dans la mort », mais: « son obéissance nous rend justes », a dit l’apôtre-patriarche en se référant à la parole en romains 5: 19: « car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes. ». « je veux le dire clairement », a souligné le responsable de l’église: « pendant longtemps, la chrétienté a glorifié la souffrance en disant: oui, si tu souffres, tu seras sauvé. autrement dit: si tu ne souffres pas, tu n’as aucune chance d’aller au ciel ; tu dois souffrir. » mais: « la souffrance ne fait pas le bonheur. j’espère que je ne choquerai personne en disant: il y a eu dans l’histoire, et cela existe malheureusement encore aujourd’hui, des personnes qui ont eu beaucoup plus à souffrir que jésus-christ sur la croix. ». « à quoi tient donc l’efficacité du sacrifice de jésus-christ? elle tient à son obéissance, parce qu’il a parfaitement accompli la volonté de dieu. parce que sa relation, sa communion avec dieu, son amour pour les hommes étaient plus importants pour lui que sa propre personne. vous remarquez? c’est exactement le contraire de ce qui s’est passé avec adam et eve, exactement l’inverse! et parce qu’il a fait cela, son obéissance peut nous rendre justes. ». les trois commandements de dieu. « nous n’avons aucune chance d’être aussi obéissants que jésus-christ, même si nous l’abordons avec la meilleure volonté du monde », a reconnu l’apôtre-patriarche. cependant: « si nous avons part à l’obéissance de jésus-christ, il nous sauvera par son mérite. » pour y parvenir, il y a trois conditions:. « tu dois croire. quoi qu’il arrive: nous faisons confiance à la parole de dieu. ce qu’il dit est la vérité. ». « tu dois aimer dieu. nous agissons selon les commandements de jésus-christ ; pas parce que nous y sommes obligés. non, nous le faisons parce que nous l’aimons. ainsi, sa volonté est devenue la nôtre. ». « celui qui aime dieu doit aussi aimer son prochain. ton amour pour dieu ne peut pas être plus grand que ton amour envers ton prochain. ». « ce sont les trois commandements de dieu », s’est exprimé l’apôtre-patriarche schneider. « celui qui est ainsi disposé ne sera pas parfait, mais dieu lui accordera la grâce et le salut par le mérite de jésus-christ. ».
Ce n’est pas par sa souffrance que Jésus-Christ peut racheter les hommes, mais par son obéissance. C’est ce que l’apôtre-patriarche a mis en lumière lors d’un récent service divin. Et il a également expliqué comment chacun peut y participer.
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Photo : Frank Schuldt
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« Pour Adam et Eve, leur personne, leur ego, était plus important que leur relation à Dieu, c’était là l’erreur ». C’est ainsi que l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a expliqué la rupture décisive.
« Dieu est un Dieu de communion, les trois ne font qu’un », s’est exprimé le responsable de l’Église le 7 avril 2023 à Nordhorn. « Quand la Bible dit que les hommes ont été créés à l’image de Dieu, cela signifie qu’ils doivent avoir cette communion – avec Dieu et entre eux. »
Mais en mangeant de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, les hommes ont montré : « Nous devenons autonomes, nous voulons décider nous-mêmes de ce qui est bien et de ce qui est mal. Ils s’étaient ainsi exclus eux-mêmes de la communion avec Dieu. Ce n’était pas une punition de Dieu, c’était une conséquence directe de leur décision. »
Plus important que sa propre personne
Mais ensuite : « Il » – Jésus-Christ – « s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. ». Telle était la parole biblique utilisée au cours du service divin, tirée de Philippiens 2 : 8. Et cela contrecarre doublement l’égoïsme d’Adam et Eve.
D’une part : « Le Fils de Dieu est venu sur terre pour montrer aux hommes : Même si tu m’as quitté, je ne te quitterai pas. Tu t’es éloigné de moi, mais je viens à toi. Et puisque tu dois souffrir, je souffrirai aussi. Parce que tu dois mourir, je mourrai aussi. Je suis avec toi ! » Ainsi, Dieu a mis en évidence : « La relation avec l’homme est plus importante pour moi que ma personne, que ma gloire. »
D’autre part : « En tant qu’homme, Jésus a été en communion avec Dieu. Celle-ci était plus importante pour lui que sa propre personne : la volonté du Père est ma volonté. Il veut sauver les hommes, et moi aussi. Là où Adam a fait un mauvais choix, je veux faire le bon choix, et ainsi je pourrai briser le pouvoir du mal. »
Pas de souffrance mais l’obéissance
Par son sacrifice, Jésus-Christ a sauvé les hommes. Cependant : « À quoi tient l’efficacité de son sacrifice ? Elle n’est pas dans la douleur, ni dans la souffrance ou dans la mort », mais : « Son obéissance nous rend justes », a dit l’apôtre-patriarche en se référant à la parole en Romains 5 : 19 : « Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes. »
« Je veux le dire clairement », a souligné le responsable de l’Église : « Pendant longtemps, la chrétienté a glorifié la souffrance en disant : Oui, si tu souffres, tu seras sauvé. Autrement dit : Si tu ne souffres pas, tu n’as aucune chance d’aller au ciel ; tu dois souffrir. » Mais : « La souffrance ne fait pas le bonheur. J’espère que je ne choquerai personne en disant : Il y a eu dans l’histoire, et cela existe malheureusement encore aujourd’hui, des personnes qui ont eu beaucoup plus à souffrir que Jésus-Christ sur la croix. »
« À quoi tient donc l’efficacité du sacrifice de Jésus-Christ ? Elle tient à son obéissance, parce qu’il a parfaitement accompli la volonté de Dieu. Parce que sa relation, sa communion avec Dieu, son amour pour les hommes étaient plus importants pour lui que sa propre personne. Vous remarquez ? C’est exactement le contraire de ce qui s’est passé avec Adam et Eve, exactement l’inverse ! Et parce qu’il a fait cela, son obéissance peut nous rendre justes. »
Les trois commandements de Dieu
« Nous n’avons aucune chance d’être aussi obéissants que Jésus-Christ, même si nous l’abordons avec la meilleure volonté du monde », a reconnu l’apôtre-patriarche. Cependant : « Si nous avons part à l’obéissance de Jésus-Christ, il nous sauvera par son mérite. » Pour y parvenir, il y a trois conditions :
- « Tu dois croire. Quoi qu’il arrive : Nous faisons confiance à la parole de Dieu. Ce qu’il dit est la vérité. »
- « Tu dois aimer Dieu. Nous agissons selon les commandements de Jésus-Christ ; pas parce que nous y sommes obligés. Non, nous le faisons parce que nous l’aimons. Ainsi, sa volonté est devenue la nôtre. »
- « Celui qui aime Dieu doit aussi aimer son prochain. Ton amour pour Dieu ne peut pas être plus grand que ton amour envers ton prochain. »
« Ce sont les trois commandements de Dieu », s’est exprimé l’apôtre-patriarche Schneider. « Celui qui est ainsi disposé ne sera pas parfait, mais Dieu lui accordera la grâce et le salut par le mérite de Jésus-Christ. »