L’histoire du « premier amour » est connue, mais qu’en est-il de la « première assurance » ? – Voici un service divin sur le thème de la conviction, de la confiance et de l’espérance ; avec la réponse à la question : Où tout cela mène-t-il ?

Le dimanche d’actions de grâces est une fête que les chrétiens célèbrent en l’honneur de Dieu, le Créateur – c’est ce que dit le Catéchisme néo-apostolique. Un dimanche au cours de l’année liturgique est ainsi spécialement consacré à cette fête, mais le chrétien peut également remercier les autres jours de l’année, nous précise l’apôtre-patriarche.

« Les seules choses qui survivent en moi, ce sont mon cœur, mon âme et mes yeux », relate Philippe, qui souffre depuis 34 ans du syndrome d’enfermement, ou « locked-in syndrome ». Voici un aperçu de sa foi, de ses libertés et de son programme de bonus très personnel.

Des frères et sœurs s’investissent dans presque toutes les parties du monde pour diffuser des services divins centraux par Internet ou par connexion téléphonique. Seul un continent ne diffuse pas de services divins néo-apostoliques.

Les britanniques n’étaient pas seulement les premiers à conquérir les sommets montagneux suisses, ils ont également construit des églises dans les Alpes lors de leurs voyages à l’étranger. L’une d’elles est aujourd’hui la propriété de la communauté de Montreux.

À l’origine, le président international de l’Église avait prévu de célébrer le service divin du 13 septembre 2020 aux États-Unis, ce qui n’a néanmoins pas été possible en raison du coronavirus. Par conséquent, il s’est rendu dans la communauté de Thann (France). 26 participants au service divin se sont réjouis lorsque l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider s’est avancé vers l’autel en traversant l’allée centrale.

Au début de l’année, personne n’aurait pu imaginer ce qui allait se produire : la pandémie liée au coronavirus a perturbé bien des choses. Mais pas notre quête du royaume de Dieu, dit l’apôtre de district adjoint John Sobottka, du Canada.

Le but reste le retour de Christ. Cependant, l’Église évolue : c’est ce que souligne l’apôtre-patriarche dans un texte doctrinal qui vient d’être publié. Il jette un regard sur le chemin parcouru et regarde aux pas qui doivent encore être parcourus.

Qui sait ce qui se passera après-demain ? – En ces temps marqués par le coronavirus, nombre de programmations semblent impossibles. Cependant, une offre reste garantie : la célébration des services divins le dimanche.

Le service divin n’est pas célébré dans une église, mais sur la véranda du prêtre. Une jeune sœur du Liberia, âgée de huit ans, nous parle de son quotidien – « community » propose des récits captivants et jette un regard sur la diversité des communautés dans le monde.

Pour annoncer l’Évangile, les chrétiens sont enthousiastes – et ils ont aussi pour mission de le faire. Car tous doivent le savoir : Dieu est proche des hommes et il les aime ! Cela peut être prêché, expliqué et vécu.

Impensable il y a 100 ans : la réception des services divins par téléphone, par la télévision, par satellite ou par Internet. – En l’an 2020, le service divin n’est éloigné que de quelques clics. Pour que cela soit possible, un certain nombre de manipulations sont nécessaires, en arrière-plan.

En 2014, la communauté de Somerset (Le Cap, Afrique australe) a déménagé dans une nouvelle maison de Dieu. La « nouvelle » église est une ancienne église réformée néerlandaise reprise et rénovée par l’Église néo-apostolique (ÉNA). L’histoire du bâtiment remonte à plus de 200 ans.

La Covid-19 a une influence sur le déroulement liturgique au cours du service divin. Là où des chorales chantaient autrefois, les voix doivent désormais se taire. Ce qui reste, c’est la recherche de solutions créatives.

Mi-mars, les premières communautés ferment en raison de la pandémie liée au coronavirus. L'Église réagit immédiatement : dès lors, les services divins sont diffusés publiquement et peuvent être suivis par streaming en direct sur YouTube.

Les miracles ne sont pas la solution, ils ne sont qu’un indicateur de celle-ci. Il s’agit plutôt d’accomplir soi-même certains miracles et de montrer ainsi l’exemple. Comment, pourquoi et dans quel but ? – Voici quelques indications issues d’un service divin célébré par l’apôtre-patriarche.

Voir qui l’on est réellement, sans jugement extérieur. Cela n’est pas facile, puisque nous, les humains, sommes des êtres sociables et parfois dépendants de la bonne volonté d’autrui. Jésus nous ouvre les yeux sur la réalité, nous dit l’apôtre de district adjoint John Fendt, des États-Unis.

Le nombre de cas augmente et diminue, les décisions administratives sont renforcées puis assouplies – la pandémie liée au coronavirus est vécue différemment à travers le monde. L’offre des services divins par téléphone et par vidéo est, quant à elle, maintenue.