Les lieux diffèrent où les frères du ministère se sanctifient, se concertent, se forment. Et ce n’est pas toujours le dimanche qu’ils se réunissent.

Même dans les soucis et les peines : Il existe tant de raisons de louer et de glorifier Dieu. Réellement ? Et : Comment peut-on exprimer la reconnaissance et la déférence dans la pratique ? Voici quelques pistes extraites d’un service divin de l’apôtre-patriarche.

Lorsque l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider partira vers l’Asie du Sud-Est, mercredi prochain, des changements radicaux interviendront pour les Églises territoriales néo-apostoliques locales. Les communautés y sont préparées depuis longtemps.

Le lavement des pieds – « Une très courte histoire, mais avec un contenu tellement riche », nous dit l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider. Et : « Comprenons cette leçon et mettons-la en pratique. La bénédiction sera grande. »

Qu’en est-il de la « dernière âme » ? Pourquoi n’en entendons-nous presque plus parler ? L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider cite trois raisons à cela. Et celles-ci sont en rapport direct avec le degré de joie dans la perspective du retour de Christ.

Il suffit de quelques bonnes idées, d’un peu d’argent et de quelques mains secourables pour pouvoir planifier, développer et construire – pour l’individu ou pour tous. Et, parfois, cela se produit beaucoup plus vite que ce que l’on espérait.

Les forces, la consolation et la bénédiction – Dieu nous aide de nombreuses manières. C’est ce que démontre l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider par l’exemple de Jacob, dans la Bible. Et comment obtenir cette aide ? Voici quelques éléments de réponse extraits d’un service divin.

Une fois la décision prise, les problèmes n’ont fait que commencer : Comment amener le vin sous forme de gouttes sur l’hostie ? À partir des appareils à tamponner et des gaufriers des premières années se sont développées les chaînes de production actuelles.

Devenir riche, être bien mis et être lucide – le programme à succès en vue d’une carrière céleste révèle un conseil connu : il faut bien acheter. Voici quelques conseils précieux extraits d’un service divin de l’apôtre-patriarche.

Trois gouttes fêtent leur anniversaire : Le vendredi saint 1917, l’apôtre-patriarche a célébré son premier service divin officiel uniquement avec une hostie, sans coupe à vin. Ce qui semble aujourd’hui tout à fait normal était devenu une nécessité il y a 100 ans. Pourquoi ?

Lorsque l'apôtre-patriarche sera en route, à Pâques, il se heurtera aux traces d'un compatriote : Un Strasbourgeois a fondé à Marburg (Allemagne) ce qui sera à nouveau célébré partout dans le monde précisément ces semaines-ci.

Reconnaissance, demandes, intercession – le Notre Père montre ce que doit comporter la prière. Or, Jésus a aussi enseigné un autre triple accord : Comment doit-on prier – une valeur biblique bien connue appliquée à notre temps.

Implorer la consolation et le soutien, même si la terreur et le désordre ne disparaissent pas totalement. Aider et soutenir, même si la famine n’est pas éradiquée des millions de fois. Faire de la musique, même si la salle n’est pas déchaînée … petit regard dans quelques communautés néo-apostoliques.

La foi dispose de ses commandements, et l’Église de ses règles. Certains, cependant, ne savent pas différencier les deux. L’apôtre-patriarche a défini des limites claires grâce à un fil conducteur qu’il a utilisé lors d’un service divin pour les ministres dirigeants.

Rendre gloire à Dieu, même lorsque je ne vais pas bien ? Plutôt louer Dieu que pleurer et claquer des dents ? L'apôtre de district Mark Woll (Canada) dit « oui » et nous présente quelques modèles de la chrétienté.

Le pardon des péchés sans apôtre, est-ce seulement possible ? Bien sûr : L’apôtre-patriarche le met en évidence dans une étude qui paraîtra prochainement dans les magazines de l’Église. Cependant : pour le croyant, le ministère lui donne la certitude.

Trois choses sont importantes aux yeux de l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider en ce qui concerne la création divine : le président de l’Église explique précisément de quoi il s’agit dans l’éditorial du dernier numéro de « community ».

Crois-tu déjà, ou exiges-tu encore ? Beaucoup de « Si », de « Mais » et de « Peut-être » peuvent empêcher d’entendre l’appel de Dieu et de s’y conformer. L’apôtre-patriarche a un remède – en principe – tout simple à cela.