Nouvelle année, nouvelle chance. L’année 2020 sera-t-elle une « année de grâce » ? Oui, car la grâce signifie que l’on peut expérimenter la communion avec Jésus-Christ. Et, auprès de lui, il y a beaucoup de grâce – pour tous.

Une foi qui enthousiasme les croyants, mais qui, dans le même temps, nous place sans cesse devant certains défis. « Comment parlons-nous du retour du Seigneur ? », interroge l’apôtre-patriarche Schneider en donnant quelques conseils.

Dans notre série « Pleins feux sur … », les apôtres de district rédigent un article sur le thème de la devise de l’année, « Riches en Christ ». L’apôtre de district Joseph Ekhuya (Afrique orientale) rappelle la constance de Kizito, un jeune martyr en Ouganda.

Ces jours, la ville de Goslar (Allemagne) est le centre de l’attention des communautés néo-apostoliques du monde entier. Dimanche, l’apôtre-patriarche Schneider y tiendra le service divin de la Pentecôte, qui sera retransmis par satellite dans une centaine de pays.

C’est le Saint-Esprit qui gouverne l’Église aujourd’hui : la résurrection et l’ascension de Jésus ont fait de la place pour le vent de Dieu, qui souffle parmi les bancs de l’Église avec force. Voici ce qui nous attend lors des services divins du mois de juin.

Plus que cinq bons mois avant que la Foire à Düsseldorf n’ouvre ses portes pour les Journées internationales de la jeunesse 2019 de l’Église néo-apostolique. Qu’est-il prévu, et qui peut y participer ? Petit tour d’horizon.

Heeeeeey – une mini-ola donne un avant-goût de 2019 : Fin mai, huit jeunes chrétiens néo-apostoliques ont testé la bonne ambiance dans l’Arena. Ils sont les ambassadeurs des Journées internationales de la Jeunesse (JIJ).

Venir en aide aux démunis est aussi une aide pour celui qui apporte son aide : quiconque est présent pour autrui fait l’expérience d’une vie plus remplie. C’est ce que vit Michaela Jost, de Gießen (Allemagne) – grâce à son engagement en faveur des enfants nécessiteux dans la région de l’Himalaya.

Mourir, servir, aimer : telle est la description simplifiée du chemin qui mène à la gloire éternelle. Ce chemin a déjà été emprunté une fois. Voici un mode d’emploi, étape par étape, issu d’un service divin célébré par l’apôtre-patriarche.

Persévérer dans la foi, pas seulement aujourd’hui et demain, mais toute la vie. C’est l’appel que nous lance l’apôtre de district Rüdiger Krause (Allemagne nord-orientale).

L’été se prête le mieux aux journées de jeunesse. Celles-ci sont censées s’adresser à la jeune génération au sein de l’Église, avec de bonnes conditions climatiques et en proposant un programme varié – soit les meilleurs ingrédients pour passer quelques heures divertissantes.

Il est parfois utile d’y regarder de plus près. Et, parfois, un seul mot explique presque tout. Comme pour Hénoc, ce personnage mystérieux issu de temps antédiluviens. Car cet homme tient à disposition le guide pour un accès direct au ciel.

« Donnons à notre prochain un avant-goût du royaume de Dieu » : tel est le message adressé, en cette Pentecôte 2018, par l’apôtre-patriarche aux fidèles de l’Église néo-apostolique dans le monde entier. Que veut-il dire par là ?

Jésus prend congé de son Église. Ses disciples prennent de plus en plus conscience que le jour J va bientôt arriver : Jésus va s’en aller. Mais pas pour toujours ! Ce qui réconforte dans cet adieu, c’est l’espérance d’un proche revoir.

La fidélité à Christ – cette persévérance a une bonne raison. Finalement, cela donne un rocher sur lequel chaque croyant, mais aussi l’Église peut bâtir. C’est sur ce sujet qu’écrit l’apôtre de district Leonard R. Kolb (États-Unis).

L’Ascension et la Pentecôte : deux jours fériés importants dans le calendrier religieux. Le mois de mai apporte à la fois le recueillement et la joie irrépressible. Et, au centre de tout cela, se trouve Jésus-Christ, le Seigneur et Sauveur.

Au programme, de la diversité : voilà déjà une certitude pour les Journées internationales de la jeunesse de l’Église néo-apostolique en 2019. Sinon, les concepteurs travaillent encore à l’élaboration de la liste des thèmes et à l’agenda. Ce que veulent les participants – voici les premiers résultats.

« Quand je pense à l'Ascension, j'imagine un nuage qui s'élève lentement dans le ciel, en emportant Jésus », dit Michaël (14 ans) pendant le cours de catéchisme. Bien évidemment, c'est la Bible qui la décrit de cette manière.