Jésus est monté au ciel, les communautés changent – une période délicate pour les premiers croyants. Cependant, les apôtres ont continué à accomplir leurs missions. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a expliqué lesquelles et ce qu’elles signifient aujourd’hui au cours d’un service divin.

Il est clair que le ministère a besoin d’une personne qui le porte. Sinon, il reste invisible et ne peut pas agir. Mais quelles exigences pose-t-il à la personne qui le porte ? Et comment le ministère et la personne sont-ils liés ?

Une seule Église ? Plutôt deux centres avec des cultures très différentes. Un homme a rassemblé les deux extrémités, et a posé de nombreux autres fondements : Friedrich Wilhelm Menkhoff, appelé à l’apostolat il y a 150 ans.

Le temps de la Passion n’est pas une période triste. Car Jésus, par son sacrifice, a ouvert la voie vers le royaume de Dieu. Ce qu’il faut encore faire aujourd’hui pour y entrer, c’est ce que l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a développé récemment au cours d’un service divin.

Le saint-scellé – un sacrement qui possède une histoire. Et ses racines remontent aux premiers siècles chrétiens : voici un aperçu des dix articles de la série sur ce thème, et l’aperçu de ce qui est encore à venir.

La réponse de l’Église néo-apostolique à la question : Comment le chrétien accède-t-il au Saint-Esprit ? – par le saint-scellé. Voici détaillée l’actuelle compréhension des sacrements et ses points d’ancrage dans la Bible et dans l’histoire de l’Église.

Le saint-scellé, est-ce un héritage de l’Église apostolique-catholique ? Le mot, peut-être, mais pas forcément aussi ce que l’on entend par ce terme : voici détaillés les tournants dans l’histoire de l’Église néo-apostolique.

La régénération d’eau et d’Esprit : ce qui a commencé comme un seul rite en deux parties s’est développé pour former deux sacrements indépendants. L’élément déclencheur était le succès écrasant du christianisme.

Comment le croyant accède-t-il au Saint-Esprit ? La Bible reste ambiguë à ce sujet et laisse des lacunes. Les réponses se développent au sein de l’Église primitive. Et ces fondements existent toujours aujourd’hui.

Ce qui est clair, c’est que le baptême d’eau et la transmission du Saint-Esprit sont étroitement liés. Mais comment ? Le Nouveau Testament lui-même fournit plusieurs réponses. Et elles ne coïncident pas toujours.

Qu’est-ce qui distingue la doctrine néo-apostolique des autres croyances ? Ces questions et d’autres semblables se posent régulièrement. Les réponses à ces questions sont plus ou moins longues, selon le contexte. Cependant, un mot-clé revient souvent : le saint-scellé.

Qui se soucie des enfants ? Qui est responsable de l’éducation religieuse ? – Ils sont nombreux, répond l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider. Un regard sur l’amour, la responsabilité et les structures de l’Église.

Jusqu’à présent, notre série relative aux sacrements au sein de l’Église de Christ s’est intéressée au saint baptême d’eau. Nous changeons à présent de thème pour aborder la sainte cène. Quelle est la position néo-apostolique à ce sujet ?

Il n’est pas si évident que cela de reconnaître les baptêmes d’autres confessions, et il y a eu des hauts et des bas dans le cours de l’histoire de l’Église. Jusqu’à ce que l’Église néo-apostolique puisse reconnaître le baptême dispensé dans d’autres communautés religieuses, un certain nombre de choses a dû être lancé.

De l’encens, des bougies, des habits décorés ? Sans l’apôtre Menkhoff, le service divin au sein de l’Église néo-apostolique ressemblerait peut-être encore à cela aujourd’hui – voici un hommage à l’occasion du 125e anniversaire de sa mort.

Le Nouveau Testament reste largement muet en ce qui concerne la façon dont doit se dérouler le saint baptême d’eau. Pour ce qui est de la signification du sacrement, au contraire, la Bible a bien des choses à dire – en voici un aperçu.

C’est le sacrement fondamental : le baptême fait de l’homme un chrétien. Mais comment faut-il le célébrer ? Jésus n’a presque rien dit à ce sujet. Il n’est même pas clairement établi s’il a lui-même baptisé. Voici une recherche de traces en bonne et due forme.

Vivre, travailler et vivre sa vie de foi en Malaisie : c’est ce que relate l’évangéliste Loganathan Ramaurty Lawrence (51 ans), le conducteur de la communauté de Kuala Lumpur. Et il nous dévoile ce qui lui donne les forces pour son engagement.