Les apôtres ont-ils seulement le droit de transformer la structure ministérielle ? Ils n’en ont pas seulement le droit, c’est aussi leur devoir. Découvrez ci-après pourquoi et quelles sont les limites : le ministère entre passé et avenir.

Imaginez que vous soyez invité à un grand festin et que vous décliniez l’invitation. La fête a lieu malgré tout, mais vous manquez quelque chose. Voici quelques pensées intéressantes issues d’une prédication de l’apôtre-patriarche à São Paulo.

Lorsque le président international de l’Église se rendra au Liberia le week-end prochain, ce sera la première visite d’un apôtre-patriarche dans le pays. Les communautés et les frères du ministère responsables se réjouissent et sont impatients dans la perspective de cette visite.

Dieu est tout-puissant, il est éternel et trine. Cette croyance est décrite en détail depuis plusieurs siècles dans les professions de foi. La foi en le retour de Jésus-Christ peut, elle aussi, unir les chrétiens d’aujourd’hui.

Le Saint-Esprit agit puissamment dans les communautés, aussi bien au sein de l’Église de Christ que dans chaque croyant. C’est ce que rappelle l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider dans son dernier Éditorial adressé aux communautés.

Depuis sa création en 1997, la fondation « Stichting Corantijn », l’organisation caritative de l’Église néo-apostolique des Pays-Bas, apporte une aide caritative au Suriname. Depuis quelques années, elle bénéficie du soutien de l’organisation d’aide humanitaire de l’Église, « NAK-karitativ ».

Existe-t-il des points communs entre les Israélites, qui sont sortis d’Égypte il y a 3000 ans, et les chrétiens du XXIe siècle ? L’apôtre-patriarche Schneider explique quelques parallèles et trouve des mots explicites contre la sorcellerie, le capitalisme et l’égocentrisme.

Tous les dons n’ont pas forcément besoin d’un ministère pour se développer. Et toutes les tâches ne nécessitent pas forcément d’avoir un ministère pour les aborder. Tout dépend toujours du service correspondant, et il existe des différences considérables.

Que signifie : être riches en Christ ? L’apôtre de district Kububa Soko (Zambie, Malawi, Zimbabwe) trouve jusqu’à sept réponses. Sa contribution sur le thème de la devise de l’année 2019 nous explique en quoi cela consiste.

C’est totalement ignorant qu’il est arrivé en Afrique occidentale. Or, son cœur rempli d’amour y a laissé des traces jusqu’à aujourd’hui : l’apôtre Rudolf Schilling, qui aurait fêté son 100e anniversaire le 14 septembre.

Diriger de manière collégiale et décider ensemble : tout un programme au sein de l’Église néo-apostolique. Et cela ne se passe pas seulement ainsi au sein de l’assemblée internationale des apôtres de district, mais également au sein des commissions des Églises territoriales.

Si les machines tournent deux fois plus vite que prévu, c'est qu'il se passe quelque chose. Il faut bien dire que même ailleurs qu'à Bielefeld, la fabrication d'hosties est tout sauf un jeu d'enfant – comment la production est arrivée en Afrique, en Amérique et en Asie.

Le changement constitue une tradition – aussi dans l’ordre ministériel au sein de l’Église néo-apostolique. Cependant, jusqu’où peut-il aller ? Les bergers et les évangélistes, par exemple, ne sont-ils pas une nécessité biblique ? Voici quelques réponses à des questions souvent posées.

L’Église est également concernée par la numérisation. On le reconnaît lorsque les frères du ministère et les enseignant(e)s sont efficacement soutenus dans leur service par la technique moderne. Voici quelques exemples actuels en provenance du Canada et d’Europe.

Un chant connu de notre recueil de cantiques dit : « Être à ton saint service, en tes mains, l’instrument… », décrivant ainsi ce que le chrétien peut faire pour soi-même et pour autrui, même sans mandat ministériel.

Les informations au sujet des communautés et champs d’activités africains traitent de sujets très divers, d’ordre technique et administratif, voire personnel.

Les êtres humains sont… humains : ils commettent des fautes et sont imparfaits, et cela vaut pour tous. Point. Pourtant, on parle de la « communion des saints » pour désigner des chrétiens fidèles et croyants. Est-ce bien cohérent ?

La joie, la tristesse, la solennité peuvent marquer les services divins de leur empreinte, en imposant au photographe des contraintes exigeantes : que peut-il faire pour immortaliser l’événement de la meilleure manière ?