Perceptibles, compréhensifs, enthousiastes pour le Seigneur et servant les communautés du monde entier : tels doivent être les apôtres, tels sont les apôtres.

L’assemblée des apôtres de district se réunit pour la première fois après le communiqué officiel concernant la conception du ministère. Toutefois, le travail effectué sur les questions non éclaircies n’est de loin pas le seul thème passionnant.

Les serviteurs de Dieu ne sont de loin pas uniquement les frères du ministère. C’est ce qu’a mis en évidence l’apôtre-patriarche lors d’un service divin retransmis dans toute l’Europe. Au centre de celui-ci se trouvait la question suivante : Servir – qui, comment et pourquoi ?

La communauté, dans laquelle tu as passé toute ta vie de foi, va fermer ses portes ? « C’est une souffrance ! », laisse éclater Jean-Luc Schneider. Car cette expérience ne s’arrête pas non plus à l’apôtre-patriarche : Comment gère-t-il cette situation ?

Être en communion avec Jésus – pas seulement au ciel, mais aussi sur la terre. Deux services divins à la suite apportent des précisions sur l’avenir et le présent. Regardons en détail la promesse divine et la mission pour le croyant.

Que ce soit en tant qu’activité principale ou bénévole : tout autour du globe, de nombreuses personnes s’engagent au sein de l’Église néo-apostolique. Voici des exemples en provenance de trois continents : une chorale en tournée promotionnelle, des enseignants lors d’une rencontre en ligne et l’adieu à un apôtre.

La mort et la vie éternelle : Comment les Églises chrétiennes gèrent-elles la question ? Et quel enseignement se cache derrière la pratique ? Tel était le thème d’une journée d’études œcuménique qui s’est tenue à l’Université de Fribourg (Suisse). C’est l’Église néo-apostolique qui a été à l’origine du projet.

Jésus est parti nous préparer une place. Première surprise : Ce lieu est achevé depuis longtemps. Seconde surprise : Les hommes y sont déjà allés. La question que l’on se pose est la suivante : Comment faire pour retourner à la maison ?

Cette fois, l’apôtre-patriarche ne fera qu’un aller-retour de Zurich à Raipur, en seulement deux jours. Malgré cela, l’invité et ses hôtes sont dans la joie, car, premièrement, l’Inde vaut toujours le voyage, et, deuxièmement, l’apôtre-patriarche y est tout-à-fait bienvenu.

Il est entré en position couchée par le toit pour sortir debout par la porte. Or, ce n’était pas sa foi qui l’a aidé : la guérison du paralytique et la lumière que jette cet événement sur le service divin en faveur des défunts.

Agir pour l’environnement – agir pour les jeunes – agir pour les réfugiés des guerres civiles harcelés : les défis de l’Église au niveau mondial sont énormes. En voici un aperçu.

Mais pourquoi Jésus a-t-il donc dû souffrir ? Il était tout de même le Fils de Dieu. La question est légitime et la réponse est claire : à cause de nous, les hommes ! Et pourquoi devons-nous souffrir, nous, les hommes ?

Dieu donne – en abondance. Or, nous ne le ressentons pas toujours ainsi. Un service divin célébré par l’apôtre-patriarche ouvre notre regard : Dieu donne plus qu’assez pour en faire ce qu’il y a de mieux. La communauté qui accueillait l’apôtre-patriarche l’a prouvé.

La définition du ministère propre à l’Église néo-apostolique se précise : l’apôtre-patriarche en a expliqué certains points essentiels aujourd’hui, au cours du service divin à l’intention des ministres de l’Église en Europe, et a ouvert des perspectives au sujet de questions qui restent en suspens.

La nouvelle définition du ministère commence à avoir des répercussions concrètes, comme l’apôtre-patriarche vient de le montrer ce jour, au cours du service divin dédié aux ministres d’Europe. Un numéro hors-série des Pensées directrices est en voie d’acheminement. Ci-après, l’essentiel en bref.

Ce qui importe, c’est la foi en le sacrifice de Jésus et son amour. Pour répondre à son amour et accomplir ses œuvres, il n'y a alors qu’un pas. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider cite sept exemples d’association de la foi et des œuvres.

« Trop tard ! Tout cela ne sert plus à rien ! » C'est ce qu'ont répondu les gens à Jésus il y a 2000 ans peu de temps avant qu'il ne ressuscite une personne. Aujourd'hui aussi, l'on entend souvent cette pensée négative, nous dit l'apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider.

Photographier individuellement chaque fleur de la décoration de l’autel avec un téléobjectif et un flash annulaire, deux minutes avant le début du service divin ? Cacher quatre flashs externes radiocommandés dans la décoration florale pour un meilleur éclairage de l’espace autour de l’autel ? – De ce qui est possible, et de ce qui ne l’est pas.