À la semaine près, l'apôtre-patriarche a récemment rendu visite à la communauté d'Halifax (Canada) pour son cinquantième anniversaire. L'un des membres qui était déjà présente lors des premiers services divins est Denise Wright. La fille du fondateur de la communauté se souvient des débuts à l'occasion d'une interview...

Dieu fait pleuvoir. Il sauve Noé et sa famille grâce à l'arche. À la fin, il fait une promesse. Ces pensées ont servi de base au service divin célébré par l'apôtre-patriarche, au cours duquel il était question de la reconnaissance à l'égard de cette promesse.

La publication la plus lue et la plus écoutée de l'Église néo-apostolique : les Pensées directrices ont fait l'objet d'ateliers sur deux continents. Jetons un regard sur les travaux de planification et de base.

L'on n'a jamais terminé d'apprendre. Qu'il s'agisse de ministres ordonnés, de musiciens ou de jeunes, ils se rencontrent dans les communautés pour apprendre ensemble et les uns des autres.

« L'apostolat décide que les femmes peuvent être investies d'un pouvoir ministériel. » Des versets bibliques isolés sont invoqués contre cette décision. Mais ceux-ci concernent moins le pouvoir que le mandat ministériel. Et l’Église en tient compte également.

Ce que les apôtres prêchent et pourquoi il faut suivre l'enseignement des apôtres – tel était le thème d'un service divin célébré par l'apôtre-patriarche. Le responsable international de l’Église explique le lien entre l'apostolat et l'avenir des enfants de Dieu.

L'Église néo-apostolique est active dans près de 200 pays. Comment garantir l'unité de l'Église malgré les différences de traditions et d'organisation ? Les réponses se trouvent dans l'article de synthèse.

Différentes occasions, différentes personnes et différentes connaissances – dans de nombreuses communautés, des frères et sœurs se sont réunis pour louer Dieu. La diversité a été surmontée par la musique et la foi.

Surmonter les barrières linguistiques, chercher des lieux de culte, construire des écoles – le travail missionnaire de l’Église néo-apostolique au Portugal avait de nombreuses facettes. Ces jours-ci, les quelque 5 500 frères et sœurs du pays peuvent s’attendre à vivre deux services divins particuliers.

Une porte qui montre le chemin à travers de nombreuses autres portes : l’apôtre-patriarche a mis en perspective une parole biblique bien connue, tout en élargissant encore l’image familière.

Les services divins du mois de novembre sont plutôt eschatologiques. Ce n'est pas un gros mot, mais un terme spécialisé pour la « doctrine des choses dernières. » La question est : Comment voyons-nous l'au-delà et la fin des temps ?

Les enfants font du théâtre et les jeunes discutent : Est-ce que cela ressemble à l'Église ? Bien sûr, si cela permet de partir en voyage avec Joseph, de commencer une nouvelle année scolaire et d'explorer sa foi.

Comment faut-il comprendre cet état de prémices si souvent cité ? L'apôtre-patriarche a souligné : il ne s'agit pas de l'exclusivité d'un groupe élitiste. Mais, une fois de plus, de la vocation à servir Dieu et son prochain.

De la petite salle de l'église au cœur du tabernacle, en passant par la plateforme en ligne YouTube, de nombreux chemins mènent à la découverte et à l'exploration des Saintes Écritures. Comment les communautés, les districts et les Églises territoriales apprennent ensemble à connaître la Bible.

Tomber, se relever, aller de l'avant - c'est le chemin qui mène au but. Dieu aide le « juste » à le faire. Mais qui est donc juste ? Voici cinq exemples et une réponse tirés d'un service divin célébré par l'apôtre-patriarche.

Loin de chez elle, mais chez elle dans la foi : Afua Ampong est partie à l'étranger pour suivre une formation. Sa nouvelle patrie, l'Angleterre, est si différente de son pays d'origine, le Ghana. Mais la foi est la même ici et là-bas.

Le contexte est important : c'est une connaissance fondamentale dans l'approche de la Bible. Si l'on prend cela à cœur en lisant et en voulant comprendre la Bible, on peut arriver à des résultats passionnants – comme par exemple dans la parabole des vierges sages et des vierges folles.

Suivre Jésus nous oblige aussi à faire preuve de renoncement. Dans sa contribution à la série « Pleins feux... », l'apôtre de district Edy Isnugroho évoque des frères et sœurs qui l'ont particulièrement impressionné dans ce domaine. Et il explique pourquoi cela vaut quand même la peine.