La définition du ministère propre à l’Église néo-apostolique se précise : l’apôtre-patriarche en a expliqué certains points essentiels aujourd’hui, au cours du service divin à l’intention des ministres de l’Église en Europe, et a ouvert des perspectives au sujet de questions qui restent en suspens.

La nouvelle définition du ministère commence à avoir des répercussions concrètes, comme l’apôtre-patriarche vient de le montrer ce jour, au cours du service divin dédié aux ministres d’Europe. Un numéro hors-série des Pensées directrices est en voie d’acheminement. Ci-après, l’essentiel en bref.

La jalousie, ou même l’envie ? – Au mois d’octobre, c’est l’occasion de faire preuve de reconnaissance ! Et le reste de l’année également. Voici un aperçu des communautés de par le monde.

L'homme a des milliers de questions, mais toutes ne trouvent pas de réponse. Quiconque questionne Dieu et cherche sa réponse ne sera ni déçu ni trompé, nous dit l'apôtre-patriarche. Voici un extrait d'un service divin construit sur un schéma de questions et réponses.

Ce qui importe, c’est la foi en le sacrifice de Jésus et son amour. Pour répondre à son amour et accomplir ses œuvres, il n'y a alors qu’un pas. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider cite sept exemples d’association de la foi et des œuvres.

Les premières idées de grandes manifestations, les solutions d’hébergement et un kit de bienvenue sont en place. À présent, nous recherchons des artistes, des solistes et des fournisseurs d’idées.

« Trop tard ! Tout cela ne sert plus à rien ! » C'est ce qu'ont répondu les gens à Jésus il y a 2000 ans peu de temps avant qu'il ne ressuscite une personne. Aujourd'hui aussi, l'on entend souvent cette pensée négative, nous dit l'apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider.

Photographier individuellement chaque fleur de la décoration de l’autel avec un téléobjectif et un flash annulaire, deux minutes avant le début du service divin ? Cacher quatre flashs externes radiocommandés dans la décoration florale pour un meilleur éclairage de l’espace autour de l’autel ? – De ce qui est possible, et de ce qui ne l’est pas.

Mais, au fait, à quoi ressemblera le royaume de Dieu à venir ? Les mots lui manquent pour le décrire, s’est exprimé l’apôtre-patriarche. Toutefois, ce qui est écrit dans la Bible à ce sujet peut nous aider à le comprendre.

De nombreux frères et sœurs et une histoire remarquable attendent l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider lorsqu’il se rendra en Afrique du Sud cette semaine.

Le Cambodge – on pense immédiatement aux « Killing Fields », aux Khmers rouges, à la guerre. Pourtant, ce pays situé entre la Thaïlande et le Viêt-Nam est de plus en plus apprécié par les touristes, et à juste titre : c’est un pays magnifique, composé d’une population chaleureuse et zélée, raconte l’apôtre John Sobottka. Il connaît ce pays et ses habitants comme nul autre.

Le chapitre dix de l’évangile selon Luc débute comme un récit de voyage : 70 disciples sont envoyés dans les villages, deux à deux. Pourquoi ? Que prêchent-ils, et de quelle manière ? Ils avaient une mission particulière, toujours valable aujourd’hui.

La conception de l’univers des défunts fait partie des richesses qui constituent la foi néo-apostolique. Or, d’où vient-elle ? Comment se justifie-t-elle d’un point de vue biblique ? Et qu’en est-il, en pratique ? Voici quelques indications concernant cette doctrine.

Où trouves-tu Dieu ? Partout, n’est-ce pas ? Car il est omniprésent. Et où fais-tu l’expérience de Dieu ? Là où est sa maison. Voici un service divin au sujet de trois lieux dans lesquels habite Dieu.

Chrissandra est morte. La responsable de jeunesse est morte sous les balles d’une fusillade entre plusieurs bandes. Une tragédie telle qu’elle se déroule quotidiennement dans certaines parties d’Afrique du Sud. Que signifie le fait de vivre sa foi au milieu de la pauvreté et de la violence ? – Voici une première approche.

Depuis dimanche dernier, Peter Schulte est le deuxième homme à la tête du champ d’activité apostolique d’Australie. L’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider l’a d’abord ordonné dans l’apostolat, puis il l’a nommé apôtre de district adjoint pour cet énorme champ d’activité.

S’humilier ? Quelle idée désagréable ! Oui, mais, devant Dieu le Tout-Puissant, il ne peut en être autrement. Car comment faut-il le comprendre autrement ? La réponse est évidente, conformément à la parole biblique.

Comment confirmer la toute-puissance de Dieu lorsqu’on a tout perdu ? Comment professer l’amour de Dieu lorsqu’on a juste envie de pleurer ? C’est possible, déclare l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider en dissipant une contradiction apparente.