Le vieil Adam : une vieille connaissance issue de nombreuses prédications. Mais est-ce plus qu'un vain mot ? Qui se souvient exactement de quoi il s'agit ? Voici des impulsions nouvelles tirées d'un service divin célébré par l'apôtre-patriarche, ainsi que les instructions correspondantes.

Des paroles claires, des actions fortes : fidèle à cette devise, l'Église néo-apostolique poursuit sa lutte contre les abus sexuels. Cela s'est également manifesté lors des sessions des apôtres de district de cette semaine.

Reconnaître, se souvenir, apprécier la valeur : c'est ainsi que fonctionne la gratitude. Et c'est la réponse à une question millénaire : « Comment rendrai-je à l’Éternel tous ses bienfaits envers moi ? » (Psaumes 116 : 12)

Au mois de novembre, l'ancienne année liturgique s'achève et une nouvelle commence. Les services divins s'intéressent de près à l'espérance en le retour de Christ, en tentant de donner un petit aperçu de la gloire de Dieu.

Rien n'est plus constant que le changement : Les choses anciennes, qui doivent être préservées, et les choses nouvelles, qui sont bonnes – tel était le thème du service divin célébré par l'apôtre-patriarche le 7 août au Mexique. Des impulsions qui sont importantes précisément en ce moment.

Faire le bien pour la société malgré l’hostilité. Ce n’est pas seulement possible, c’est aussi un aspect de la devise annuelle, nous explique l’apôtre de district Edy Isnugroho (Asie).

Pour la première fois au cours de ses 160 années d’histoire, l’Église néo-apostolique a répondu de manière doctrinale à la question de l’ordination des femmes... en disant « oui » – motifs et contexte d’une « transition importante dans notre tradition ».

Prier pour la paix dans le monde, tel est l'appel lancé par l'Église néo-apostolique le 21 septembre, Journée internationale de la paix. Ainsi, les communautés peuvent même s'attaquer à une mission confiée par Jésus-Christ lui-même.

Chacun peut apporter sa contribution. Et ce n'est pas la quantité qui compte, mais l'amour. C'est ce qu'a démontré la pauvre veuve. Ce que les croyants d'aujourd'hui peuvent apprendre de cet exemple a été révélé le 31 juillet 2022 à Paramaribo (Suriname).

L’Église néo-apostolique invite les fidèles du monde entier à une soirée virtuelle avec l’apôtre-patriarche. C’est ce que rapporte le site « nak.org » en expliquant également de quoi il s’agit. Le contexte est expliqué sur le site « nac.today ».

Les chrétiens ne doivent pas seulement parler, ils doivent aussi agir en chrétiens. Comment faire, cependant, surtout à une époque où le christianisme est marginalisé dans certaines parties du monde ? Voici un extrait des prédications dominicales du mois de septembre au sein de l’Église néo-apostolique.

En cas de pandémie, il est important de s’isoler pour éviter le danger. Il en va autrement dans la vie de communauté : l’isolement est un danger, met en garde l’apôtre de district Tshitshi Tshisekedi (RD Congo Sud-Est).

Que les autres accomplissent les miracles – Les ministres d’aujourd’hui enseignent et prêchent l’Évangile. Et ce, toujours et partout. Lors d’un service divin pour frères du ministère, l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider leur a rappelé que signifie le service.

C’était « Un dimanche comme aucun autre » au « Stade des Martyrs », où joue habituellement l’équipe nationale de football de la République démocratique du Congo. C’était en tout cas l’avis de l’apôtre-patriarche. Plus de 35 000 jeunes ont participé à ce service divin.

Le 3 juillet, l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider célébrera un service divin en République démocratique du Congo. Trois jours seulement après la fête de l’indépendance dans le pays. En tant qu’ancien apôtre de district, l’apôtre-patriarche connaît l’histoire mouvementée du pays.

L’Ascension est l’aboutissement et le couronnement de la vie sur cette terre, et cela n’a pas seulement été le cas pour Jésus-Christ. Cela doit aussi être le cas pour les croyants. L’apôtre-patriarche esquisse la voie à suivre et le but à atteindre.

Des personnes qui doivent quitter leur foyer sont en route. Des personnes chassées, sans patrie, rarement bien accueillies quelque part, mais malheureusement toujours une amère réalité. Le 20 juin est la Journée mondiale du réfugié.

Quand on ne détourne pas le regard, on voit beaucoup de situations où l’on peut aider. Peu importe que beaucoup ou peu de personnes regardent, l’aide est acceptée avec gratitude : en Ukraine, au Sierra Leone ou en Asie du Sud-Est.