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Hospitalité, esprit de solidarité et confiance en Dieu – c’est ainsi que se développe l’Église néo-apostolique au Sénégal que l’apôtre-patriarche visite ce week-end.
La foi n’est pas une fin en soi. Dieu a envoyé chaque croyant pour faire ressentir son amour. Comment ? Ceci, on le sait, en fait. Mais est-ce que ça marche ? Voici un test pour s’auto-contrôler.
La foi en les idoles, la foi des pharisiens ou la foi enseignée par Christ ? La réponse à une question simple permet de savoir où l’on se situe. Et l’apôtre-patriarche met en évidence ce qui compte vraiment.
C’est une image de l’Église de Christ : pourquoi Dieu permet aussi la mauvaise herbe dans son champ de blé. La réponse comporte trois tâches pour chaque croyant – l’apôtre-patriarche nous en dit plus à ce sujet.
On ne sait presque rien des disciples d’Emmaüs – est-ce un hasard ? Non, estime l’apôtre-patriarche. Il y a un message derrière cet anonymat : le message de l’amour qui n’oublie personne. Voici un extrait d’un service divin en lettres animées.
Pauvreté, ingratitude, rejet : Jésus connaît les luttes des croyants, parce qu’il les a lui-même vécues. C’est pourquoi il peut aussi aider tous ceux qui marchent sur ses traces et persévèrent.
Ne pas s’enfermer dans les traditions, mais vivre réellement sa foi. C’est ce à qoi exhorte l’apôtre-patriarche. Il a récemment résumé ce que cela implique.
Le salut est plus qu’une échappatoire à la souffrance – L’apôtre-patriarche Schneider demande une préparation active au retour de Christ et met en garde contre le repli sur soi, l’auto-illusion et le minimalisme spirituel.
La consolation – cela fait d’abord penser à des larmes. Mais la consolation divine est bien plus que cela, comme l’a expliqué l’apôtre-patriarche Schneider. Dieu nous promet qu’il est là, qu’il nous connaît, qu’il nous aime et qu’il est auprès de nous, quelle que soit notre situation.
Au lieu d’un recueillement silencieux, Jésus veut des actes : sortir, annoncer, aider. Celui qui se contente de prier sans agir manque à sa mission. L’apôtre-patriarche Schneider appelle au changement
La défaite absolue se révèle être la plus grande des victoires. Et cela a des répercussions bien au-delà d’aujourd’hui : pour ne pas mourir, il faut vivre pour cela. L’apôtre-patriarche a expliqué ce que cela signifiait au cours d’un service divin en Australie.
Dans la sainte cène, Jésus-Christ est présent en tant que Crucifié, Ressuscité et Celui qui s’apprête à revenir : à la Pentecôte, l’apôtre-patriarche a rendu palpable ce qui semble si théologique.
Une fête qui laisse des traces : l’Assemblée de la Pentecôte 2025 a laissé de profondes impressions et donné un aperçu de l’avenir – voici un aperçu de tout ce qu’il est important de savoir.
Les décibels ont fusé dans les rangs. Mais le Youth Celebration Choir, renforcé localement, pouvait aussi chanter doucement – à partager et réécouter, voici le chant « Lord, I Stretch My Hands to You » du service divin de la Pentecôte 2025.
Ce qui compte pour lui, ce n’est pas le pouvoir, mais l’amour et la proximité : dans ce premier entretien, l’apôtre-patriarche adjoint dévoile ses pensées, ses sentiments – et sa foi.
Connaître la vérité et vivre la véracité : c'est à cela que l'apôtre-patriarche et son nouvel adjoint ont appelé lors du service divin de la Pentecôte 2025 à Wiesbaden (Allemagne).
Pendant le service divin de la Pentecôte, l'apôtre-patriarche Jean Luc-Schneider a désigné son successeur : la nomination de l'apôtre-patriarche adjoint Helge Mutschler en vidéo.