Certaines drogues sont acceptées par la société. Et pourtant : eIles restent des poisons qui peuvent détruire le corps. Ce que provoquent les drogues – voici la deuxième partie de la série de vidéos « Sortir de l'addiction ».

Construire et entretenir des bâtiments, soutenir les enfants et les jeunes, former des chargés de fonction – la fondation NAK-Diakonia a connu une année 2023 couronnée de succès. C'est ce que montre le rapport annuel récemment publié.

C'est du donnant-donnant, ce que Dieu fait à mon égard, je le fais pour toi : voilà tout le mystère de l'amour du prochain. C'est une expérience qui peut se vivre très concrètement : lorsqu'on pardonne, on juge, on donne, par exemple. Comment Jésus prêche directement ici et aujourd'hui.

« Sortir de l'addiction » (titre original : « Addiction Talk », NdT) est le nom d'une série de vidéos produites par la Fondation Masakhe, l'organisation caritative de l'Église néo-apostolique d'Afrique australe. La première vidéo montre : Les drogues typiques ne sont pas les seules à rendre dépendant.

En Angola, une femme devient maman au plus tard vers le milieu de la trentaine – même sans enfant. Elle pourra alors participer aux activités du « Groupe des Mamas ».

Avec 1 794 645,25 francs suisses, on peut faire beaucoup de choses : faire naître un sourire, créer une participation sociale ou apporter une aide en cas de grande détresse. En 2023 également, NAK-Humanitas, la fondation de l'Église territoriale de Suisse, a utilisé les fonds dans l'esprit de l'amour chrétien du prochain.

Un talent pour chacun et de nombreux talents différents pour chaque individu : cette interprétation d'une parabole familière, tirée d'un service divin célébré par l'apôtre-patriarche, s'aventure dans de telles dimensions.

Actuellement, selon les estimations de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, environ 30 millions de personnes quittent leur pays en raison de phénomènes météorologiques extrêmes et de catastrophes naturelles. Les personnes concernées sont les plus pauvres, qui dépendaient de l'aide d'autrui. Elie était un réfugié climatique, lorsqu'il s'est retrouvé avec rien devant une personne qui n'avait presque rien non plus.

Pendant que les apôtres de district et leurs adjoints se réunissaient dans le centre de conférence de l'administration, leurs épouses ont profité de ce temps pour s'engager socialement. Pour cela, ils ont peint des smileys jaunes sur des t-shirts bleus.

La souffrance n'est ni une obligation ni une garantie pour être présent à la résurrection. Et la souffrance de Jésus n'était qu'une étape, suivie de la résurrection. L'apôtre-patriarche a expliqué lors d'un service divin comment suivre ce chemin.

Qu'en est-il de la devise de l'année : « La prière agit » ? Un bref sondage sur Instagram a fourni 900 impulsions autour du thème de la prière. Dans une première partie, il sera question du sentiment d'être proche de Dieu dans la prière.

Chaque homme dispose a droit au bonheur. En Matthieu 5 : 3-10, Jésus félicite des personnes qui, à première vue, ne sont peut-être pas heureuses du tout. Le 20 mars, c'est la Journée mondiale du bonheur – une bonne raison de jeter un coup d'œil à ces vœux.

« Sortez de Jérusalem », a demandé l'apôtre-patriarche à l'assemblée. Quitter son propre point de vue et se mettre dès aujourd'hui à la recherche de la vie éternelle, tel était le thème d'un récent service divin.

En route depuis octobre 2023, elles arrivent maintenant partout : pour la première fois en plus de 90 ans d'histoire, l'Église néo-apostolique édite publiquement les Directives à l'usage des ministres sur le site officiel nak.org.

Pour Dieu, c'est la personne qui compte : chaque personne. La personne de l'eunuque éthiopien permet de voir à qui, comment et pourquoi Dieu offre son salut. Voici quelques extraits d'un service divin en faveur des défunts.

Les croyants d'aujourd'hui et Marie, la mère de Jésus, à l'époque : il y a beaucoup de similitudes, estime l'apôtre-patriarche. Il y est question de foi, de confiance et de patience, ainsi que de puissants qui tombent et de riches qui repartent les mains vides.

Les objectifs fixés ont été atteints : l'Église néo-apostolique a réorganisé ses compétences en matière d'œcuménisme. Au lieu d'un groupe suprarégional, il existe désormais un interlocuteur pour les acteurs régionaux.