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C’est l’aspect le plus actuel de la devise de l’année. Et cela s’explique par le vent et la pluie – tout un service divin basé sur un seul mot.

La foi néo-apostolique se fonde sur l’enseignement de Jésus-Christ – c’est clair. Mais : Qu’est-ce que l’enseignement de Jésus concrètement ? L’apôtre-patriarche cite sept aspects et invite à un autotest.

Faire le bien – comment y parvenir, quand on vit chaque jour le mal. L'apôtre de district Tshitshi Tshisekedi (République démocratique du Congo Sud-Est) donne une réponse dans son article consacré à la devise de l'année 2025.

Un rayonnement au meilleur sens du terme : tous ceux qui l'ont rencontré personnellement ont été rapidement séduits par son charisme chaleureux et aimant - il y a 50 ans, Ernst Streckeisen prenait ses fonctions en tant qu'apôtre-patriarche.Ernst Streckeisen naît le 19 octobre 1905 à Saint- Gall (Suisse). Son père meurt lorsqu’il n’a que trois ans. Avec sa mère, Albertine, et son frère cadet, Karl, il traverse une période d’extrême pauvreté. Après un apprentissage commercial et après avoir fait ses classes, il survit grâce à de petits boulots, pour finalement trouver une place au sein de l’administration municipale.

Sa foi, sa clairvoyance et son humilité ont fait de lui une personnalité marquante de l’histoire néo-apostolique : l’apôtre-patriarche Hans Urwyler aurait eu 100 ans le 20 février – rétrospective reconnaissante.

« Il est temps de faire le bien ». – La devise de l’année 2025 est bien plus qu’une simple exhortation morale. On ne peut bien le comprendre que dans la perspective du retour de Christ – voici l’explication de l’apôtre-patriarche.

Abandonner les êtres aimés ? Les uns vont au ciel, les autres sont dans la grande tribulation ? L’apôtre-patriarche explique comment il faut comprendre cela.

C’est par un appel pressant que l’apôtre-patriarche Jean-Luc Schneider a clôturé l’année liturgique 2024 : « Viens, Seigneur Jésus ! » C’est à cet appel central à la prière qu’il s’est consacré lors du service de fin d’année. 

C’est bien plus qu’un simple « soyez gentils les uns envers les autres » : ce que la devise de l’année « Il est temps de faire le bien » signifie pour la vie en commun avec nos contemporains.

Les derniers jours sont-ils arrivés ?  Oui, non, peut-être – peu importe. Car il ne sert à rien de vouloir interpréter les signes du temps. Ce qui compte, c’est d’être actif : de lever les yeux et de se lever.

Il incarnait la figure paternelle du mouvement qui en était encore à ses débuts : Friedrich Krebs est mort, il y a de cela 120 ans jour pour jour. Même s’il est considéré comme ayant été le premier apôtre-patriarche de l’Église néo-apostolique, cette dénomination ministérielle n’est entrée en usage qu’ultérieurement.

Faire le bien pour son âme, c’est une chose. Mais l’apôtre-patriarche a un autre sujet à cœur : les enfants et les jeunes – une tâche qui n’incombe pas seulement aux parents, mais à toute la communauté.

Faire le bien ? Comment ? Nous sommes bien trop occupés. Il y a toutefois un moyen d’y remédier – Voici la première partie du service divin célébré par l’apôtre-patriarche au sujet de la devise de l’année 2025 : « Il est temps de faire le bien ! »

Ordinations, mandatements, nominations et admissions à la retraite – il y avait de tout : le deuxième semestre de l’année 2024 a compté plus de 40 actes ministériels dans le cercle des apôtres.

Combien de temps Dieu veut-il attendre avant d’intervenir ? La question est vieille de plusieurs millénaires. Et la réaction peut choquer : il se peut qu’il n’intervienne pas du tout – du moins pas comme nous l’attendons. Mais il y a de l’espoir.

Symbole et conservateur de l’unité au sein de l’apostolat : l’apôtre-patriarche est un apôtre investi d’une mission particulière. La Bible montre déjà pourquoi cela est nécessaire – septième partie de la table ronde des JIJ 2019.